Le lundi 8 février débutera de la
4ème Semaine nationale d’information sur la Rosacée, « une maladie
d’origine vasculaire qui provoque des troubles de la circulation
sanguine de la face », explique le Dr Jacques Savary, dermatologue à
Paris. Rougeurs, couperose, boutons évocateurs d’une acné… La rosacée,
c’est avant tout un incontestable préjudice esthétique. « Les patients
souffrent du regard des autres. Ils sont perçus soit comme des timides
soit, ce qui est pire encore, comme des alcooliques. Or, il n’y a pas de
corrélation entre rosacée et alcoolisme », insiste-t-il.
Soutenue par Galderma international, cette quatrième semaine
d’information vise à tordre le cou à cette idée reçue tenace. A mettre
un terme à la souffrance psychologique des malades. Les promoteurs de la
campagne veulent d’abord inciter ceux qui en sont victimes à parler de
leur maladie et donc en premier lieu… à consulter leur médecin. « Un
patient sur cinq seulement consulte », souligne Jacques Savary. Or,
au total, la rosacée touche 4 millions de Français soit 8% de la
population du pays, toutes tranches d’âge confondues.
Aujourd’hui pourtant, il existe des traitements éprouvés qui
apportent un réel soulagement des symptômes. « Il y en a de plusieurs
types. Pour détruire les vaisseaux dilatés, nous pouvons recourir au
laser. Nous disposons aussi de médicaments (en applications locales) qui
luttent contre l’inflammation et la poussée de boutons. Et pour les cas
les plus sévères, nous pouvons prescrire des antibiotiques ».
Il n’est pas toujours nécessaire d’en arriver là. Pour limiter les
poussées inflammatoires à l’origine des rougeurs et des boutons, il
suffit parfois de modifier ses habitudes : pas d’exposition sans
protection au soleil ou au froid, pas d’aliments trop épicés, ni de
boissons trop chaudes. Et même s’il n’y a aucune relation de cause à
effet entre alcoolisme et rosacée, la consommation d’alcool même très
limitée peut en aggraver les symptômes ou déclencher une poussée. « Il
suffit d’un verre de vin pour que le patient devienne tout rouge »,
explique le Dr Savary. Pour davantage d’informations, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
"d'aprés le journal temoignage"
4ème Semaine nationale d’information sur la Rosacée, « une maladie
d’origine vasculaire qui provoque des troubles de la circulation
sanguine de la face », explique le Dr Jacques Savary, dermatologue à
Paris. Rougeurs, couperose, boutons évocateurs d’une acné… La rosacée,
c’est avant tout un incontestable préjudice esthétique. « Les patients
souffrent du regard des autres. Ils sont perçus soit comme des timides
soit, ce qui est pire encore, comme des alcooliques. Or, il n’y a pas de
corrélation entre rosacée et alcoolisme », insiste-t-il.
Soutenue par Galderma international, cette quatrième semaine
d’information vise à tordre le cou à cette idée reçue tenace. A mettre
un terme à la souffrance psychologique des malades. Les promoteurs de la
campagne veulent d’abord inciter ceux qui en sont victimes à parler de
leur maladie et donc en premier lieu… à consulter leur médecin. « Un
patient sur cinq seulement consulte », souligne Jacques Savary. Or,
au total, la rosacée touche 4 millions de Français soit 8% de la
population du pays, toutes tranches d’âge confondues.
Aujourd’hui pourtant, il existe des traitements éprouvés qui
apportent un réel soulagement des symptômes. « Il y en a de plusieurs
types. Pour détruire les vaisseaux dilatés, nous pouvons recourir au
laser. Nous disposons aussi de médicaments (en applications locales) qui
luttent contre l’inflammation et la poussée de boutons. Et pour les cas
les plus sévères, nous pouvons prescrire des antibiotiques ».
Il n’est pas toujours nécessaire d’en arriver là. Pour limiter les
poussées inflammatoires à l’origine des rougeurs et des boutons, il
suffit parfois de modifier ses habitudes : pas d’exposition sans
protection au soleil ou au froid, pas d’aliments trop épicés, ni de
boissons trop chaudes. Et même s’il n’y a aucune relation de cause à
effet entre alcoolisme et rosacée, la consommation d’alcool même très
limitée peut en aggraver les symptômes ou déclencher une poussée. « Il
suffit d’un verre de vin pour que le patient devienne tout rouge »,
explique le Dr Savary. Pour davantage d’informations, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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