Une étude de l'université médicale de Graz, publiée dans le journal international de la gastroentérologie et de l'hépathologie Gut, montre que l'épice indienne pourrait ralentir la progression des pathologies hépatiques.
La substance, qui donne au curcuma sa couleur jaune brillante, a été utilisée durant des siècles pour traiter un grand nombre de désordres gastro-intestinaux en médecine ayurvédique, médecine pratiquée sur le sous-continent indien.
De précédentes études avaient déjà suggéré que le curcuma avait des propriétés anti-inflammatoires et qu'il agissait comme un antioxydant. Cette dernière étude, publiée dans le journal Gut, a analysé les dommages infligés au foie par des maladies inflammatoires progressives comme la cholangite sclérosante primaire (une inflammation chronique et progressive des canaux biliaires) ou la cirrhose biliaire primitive (une maladie auto-immune chronique des voies biliaires).
Ces pathologies peuvent entrainer l'inflammation des voies biliaires (qui transportent la bile vers l'intestin grêle) et les bloquer définitivement. Les dommages sur les tissus peuvent être irréversibles et faire progresser la cirrhose du foie, ce qui peut s'avérer fatal.
Les experts autrichiens et américains ont analysé le tissu et les échantillons de sang prélevés sur des souris souffrant d'une inflammation chronique du foie, puis ont intégré au régime des rongeurs du curcuma sur une période de quatre à huit semaines.
Les souris nourries au curcuma présentaient un conduit biliaire moins obstrué et affichaient moins de dommages au niveau des cellules du foie. Aucun effet similaire n'a été perçu chez les souris au régime alimentaire normal.
Une autre étude effectuée par les chercheurs de Newcastle et de Manchester, et également publiée dans Gut, avait été menée sur plus de 4.600 personnes, pour connaitre les facteurs favorisant le risque de cirrhose biliaire primaire. Les scientifiques ont pu constater que le tabagisme augmentait ce risque de 63%, tandisque la coloration capillaire l'augmente de 37%. Ils ont noté qu'un lien existait entre la cirrhose et l'un des produits chimiques trouvé dans la coloration, également intégré au vernis à ongle.
La substance, qui donne au curcuma sa couleur jaune brillante, a été utilisée durant des siècles pour traiter un grand nombre de désordres gastro-intestinaux en médecine ayurvédique, médecine pratiquée sur le sous-continent indien.
De précédentes études avaient déjà suggéré que le curcuma avait des propriétés anti-inflammatoires et qu'il agissait comme un antioxydant. Cette dernière étude, publiée dans le journal Gut, a analysé les dommages infligés au foie par des maladies inflammatoires progressives comme la cholangite sclérosante primaire (une inflammation chronique et progressive des canaux biliaires) ou la cirrhose biliaire primitive (une maladie auto-immune chronique des voies biliaires).
Ces pathologies peuvent entrainer l'inflammation des voies biliaires (qui transportent la bile vers l'intestin grêle) et les bloquer définitivement. Les dommages sur les tissus peuvent être irréversibles et faire progresser la cirrhose du foie, ce qui peut s'avérer fatal.
Les experts autrichiens et américains ont analysé le tissu et les échantillons de sang prélevés sur des souris souffrant d'une inflammation chronique du foie, puis ont intégré au régime des rongeurs du curcuma sur une période de quatre à huit semaines.
Les souris nourries au curcuma présentaient un conduit biliaire moins obstrué et affichaient moins de dommages au niveau des cellules du foie. Aucun effet similaire n'a été perçu chez les souris au régime alimentaire normal.
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