............ allez on commence par la plus facile: quelle probabilité a un garçon d'étre atteint d'hemophilie sachant que son pere est atteint ? ..... avec commentaire!!!
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la pediatrie en questions
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°1
la pediatrie en questions
_ bonjour tout le monde, j'ai quelques question en pediatrie , si vous avez des reponses vous n'hesitez pas de les partager avec moi.....j'essaille de les posez un par un pour laisser le temps a votre participation.
............ allez on commence par la plus facile: quelle probabilité a un garçon d'étre atteint d'hemophilie sachant que son pere est atteint ? ..... avec commentaire!!!
............ allez on commence par la plus facile: quelle probabilité a un garçon d'étre atteint d'hemophilie sachant que son pere est atteint ? ..... avec commentaire!!!
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°2
Re: la pediatrie en questions
drabousselham- Progresse
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- Message n°3
Re: la pediatrie en questions
l'hemophilie est une maladie génétique liè à l'X, donc si le père est porteur et la mère est saine , la probabilité d'avoir un garçon hémophile est 000
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°4
Re: la pediatrie en questions
- merci une autre fois dr drabousselham et bravo , l'hemophilie est une maladie genitique a transmission lieé a X sur un mode recessif ......
....... le gason prend le X de sa mere donc il est saint tant que sa mere est non porteuse de ce gene. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
.................... une 2eme question:
-------- un NRS est porteur d'une invagination intestinale aigue.sur quel signe clinique soupçonnez vous une etiologie specifique locale ?........ avec commentaire!!!
....... le gason prend le X de sa mere donc il est saint tant que sa mere est non porteuse de ce gene. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
.................... une 2eme question:
-------- un NRS est porteur d'une invagination intestinale aigue.sur quel signe clinique soupçonnez vous une etiologie specifique locale ?........ avec commentaire!!!
drabousselham- Progresse
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- Message n°5
Re: la pediatrie en questions
du sang au toucher rectal voir des rectorragies extériorisées + la palpation du boudin d'invagination.
NB: je me suis leurré une fois au début de ma pratique: ayant reçu le bb pdt l'interval libre càd nourrisson calme, apyretique,....
et j'ai renvoyer la maman et le nourrisson avec une ordonnace !!! pour le recevoir 30mn aprés avec du sg sur la couche du bb!!!!!
NB: je me suis leurré une fois au début de ma pratique: ayant reçu le bb pdt l'interval libre càd nourrisson calme, apyretique,....
et j'ai renvoyer la maman et le nourrisson avec une ordonnace !!! pour le recevoir 30mn aprés avec du sg sur la couche du bb!!!!!
pink- Progresse
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- Message n°6
Re: la pediatrie en questions
On suspecte l'invagination intestinale aiguë chez un enfant âgé de moins de 2ans
Le plus souvent de sexe masculin, l'ainé de sa fratrie ayant des douleurs abdominales se manifestant par des pleures incessants entrecoupés de périodes d'acalmie, l'enfant émet des vomissements alimentaires et refuse de téter
On note la présence d'un épisode infectieux précédant cette symptomatologie
Le TR souillé de sang ne se voit qu'à un stade tardif
Le plus souvent de sexe masculin, l'ainé de sa fratrie ayant des douleurs abdominales se manifestant par des pleures incessants entrecoupés de périodes d'acalmie, l'enfant émet des vomissements alimentaires et refuse de téter
On note la présence d'un épisode infectieux précédant cette symptomatologie
Le TR souillé de sang ne se voit qu'à un stade tardif
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°7
Re: la pediatrie en questions
_ merci tout lemonde, je precise une invagination intestinale aigue secondaire ?
....... pink a bien dit : l'I I A idiopathique rare avant l'age de 2 mois et apres 2 ans, son pic de frequence est a l'age de 9 mois.
........conçernant les rectorragies; elles sont non specifiques dans les 2/3 des cas mais leure absence se voit surtout en cas d' I I A secondaire.
........ les antecedants familiaux d' I I A evoque une malformation familliale.
..........j'ajoute : la situation du buodin dans la FIG evoque la forme ileo-ileale secondaire, la forme primitive est typiquement ileo-ceacale avec le boudin est en FID.
................. une 3eme question:
------------------ le pronostic a long terme du purpura rhumatoide depond avant tout de quelle atteine organique? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
....... pink a bien dit : l'I I A idiopathique rare avant l'age de 2 mois et apres 2 ans, son pic de frequence est a l'age de 9 mois.
........conçernant les rectorragies; elles sont non specifiques dans les 2/3 des cas mais leure absence se voit surtout en cas d' I I A secondaire.
........ les antecedants familiaux d' I I A evoque une malformation familliale.
..........j'ajoute : la situation du buodin dans la FIG evoque la forme ileo-ileale secondaire, la forme primitive est typiquement ileo-ceacale avec le boudin est en FID.
................. une 3eme question:
------------------ le pronostic a long terme du purpura rhumatoide depond avant tout de quelle atteine organique? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
mac_eden- Super-membre
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- Message n°8
Re: la pediatrie en questions
Le pronostic est lié à l'atteinte rénale
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°9
Re: la pediatrie en questions
_ merci mac_eden , c'est surtout l'atteinte renale ( glomerulonephrite a depots mesangiaux d'IGA) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]....mais des complications digestives ( invagination intestinale, perforation, peritonite) peuvent mettre en jeu notre pronostic....
..................4 eme question:
--------------- que doit faire rechercher chez un enfant de 8 ans atteint d'une enuresie? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
..................4 eme question:
--------------- que doit faire rechercher chez un enfant de 8 ans atteint d'une enuresie? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
mac_eden- Super-membre
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- Message n°10
Re: la pediatrie en questions
Bonsoir, il faut évoquer une infection urinaire, surtout la cystite
pink- Progresse
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- Message n°11
Re: la pediatrie en questions
On évoque aussi le diabete
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°12
Re: la pediatrie en questions
-merci mes confreres, devant une enuresie secondaire on elimine une cause de syndrome polyuro-polydipsique puis recherche une cause confictuelle ou psychiatrique...
................ 5eme question:
----------un enfant de trois ans presente brutalement une boiterie de hanche droite sans notion de traumatisme, il existe une limitation de l'abduction et de la rotation interne, pas de fievre, vs= 10mm/ 1ere heure, la RX montre un epaississement des parties molles autour de la hanche sans lesion osseuse.
----------a quelle etiologie doit on penser en premier? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
................ 5eme question:
----------un enfant de trois ans presente brutalement une boiterie de hanche droite sans notion de traumatisme, il existe une limitation de l'abduction et de la rotation interne, pas de fievre, vs= 10mm/ 1ere heure, la RX montre un epaississement des parties molles autour de la hanche sans lesion osseuse.
----------a quelle etiologie doit on penser en premier? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
mac_eden- Super-membre
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- Message n°13
Re: la pediatrie en questions
Il s'agit d'une boiterie non fébrile. Penser en premier lieu à l'épiphysioloyse fémorale supérieure.
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°14
Re: la pediatrie en questions
bonjour, boitrie aigue chez un enfant de 3 ans sans syndrome infectieux avec cet aspect radiologique evoque en premier lieu une synovite aigue " rhume de hanche " mais il faut toujours eliminer une osteochondrite par control radiologique apres 6 mois.
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chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°15
Re: la pediatrie en questions
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°16
Re: la pediatrie en questions
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°17
Re: la pediatrie en questions
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°18
Re: la pediatrie en questions
_ bonjour [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] je me trouve obligé de me repondre pour passer a une autre question, donc devant ce cas vous ne devez rien faire sauf et tout simplement lui donner le vaccin antirougeoleux .......
-------- 7eme question:
.................quel type de vaccin qu'on evite chez un enfant ayant des antecedants convulsifs? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
-------- 7eme question:
.................quel type de vaccin qu'on evite chez un enfant ayant des antecedants convulsifs? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
emeraudita- Membre actif
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- Message n°19
Re: la pediatrie en questions
Anti coquelucheux?
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°20
Re: la pediatrie en questions
emeraudita- Membre actif
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- Message n°21
Re: la pediatrie en questions
Parcque le vaccin anti-coquelucheux peut provoquer des convulsions voire même l'état de mal convulsif comme effets indisérable
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°22
Re: la pediatrie en questions
_ c'est tout a fait exacte [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] , le vaccin anticoquelucheux est un vaccin bacterien inactivé,les accidents neurologiques sont les complications majeures de cette vaccination.....
..............8 eme question:
................. quel type de vomissement que vous constatez en cas de stenose pyloro- bulbaire chez l'enfant quelle que soit sa cause ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
..............8 eme question:
................. quel type de vomissement que vous constatez en cas de stenose pyloro- bulbaire chez l'enfant quelle que soit sa cause ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
emeraudita- Membre actif
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- Message n°23
Re: la pediatrie en questions
C'est des vomissements post prondial; alimentaire, en jet abandant; jamais bilieux
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°24
Re: la pediatrie en questions
_ j'ajoute des vomissements d'aliments ingerés plusieurs jours auparavant ....... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
.....................9 eme questions:
................comment vous posez le diagnostic prenatal de la mucoviscidose? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
.....................9 eme questions:
................comment vous posez le diagnostic prenatal de la mucoviscidose? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
emeraudita- Membre actif
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- Message n°25
Re: la pediatrie en questions
Test de Ghutrie: à j03 de vie: Mesure d'une enzyme pancréatique:trypsine immunoréactive (TIR) ; à confirmer après 6mois par un test de la sueur..
Ce test s'adresse au couple à risque; c'est une maladie génétique à transmission récessive; Donc les deux parents sont proteurs du gène muté...
Ce test s'adresse au couple à risque; c'est une maladie génétique à transmission récessive; Donc les deux parents sont proteurs du gène muté...
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- Message n°26
Re: la pediatrie en questions
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°27
Re: la pediatrie en questions
..............- bonjour, la technique de reference de l'analyse de l'ADN sur le
chromosome 7 ( alpha 508 le plus frequent) par polymorphisme de
restriction sur une bipsie de trophoblaste si non le dosage des iso
enzymes intestinales et des phosphatases alcalines, des gamma GT et de
la leucine amino-peptidase par amniocentese sera effectué.
..............- voila une nouvelle technique de diagnostic prénatal de la mucoviscidose:
chromosome 7 ( alpha 508 le plus frequent) par polymorphisme de
restriction sur une bipsie de trophoblaste si non le dosage des iso
enzymes intestinales et des phosphatases alcalines, des gamma GT et de
la leucine amino-peptidase par amniocentese sera effectué.
..............- voila une nouvelle technique de diagnostic prénatal de la mucoviscidose:
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°28
Re: la pediatrie en questions
emeraudita- Membre actif
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- Message n°29
Re: la pediatrie en questions
chaloul nasreddine a écrit:..............- bonjour, la technique de reference de l'analyse de l'ADN sur le
chromosome 7 ( alpha 508 le plus frequent) par polymorphisme de
restriction sur une bipsie de trophoblaste si non le dosage des iso
enzymes intestinales et des phosphatases alcalines, des gamma GT et de
la leucine amino-peptidase par amniocentese sera effectué.
..............- voila une nouvelle technique de diagnostic prénatal de la mucoviscidose:
Merci pour ces informations :-)
........................ 10 eme question:
........................... quel est le perimetre cranien a la naissance d'un enfant normal a terme?
33 à 37 cm
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°30
Re: la pediatrie en questions
- pas de quoi emeraudita [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] malgré que le nombre des participants est reduit je dois continuer de partager ces information, peut etre c'est des questions simples mais croyez a moi que la majorité de nos medecins ignorent ces questions "reflexes" ci vous voulez.........merci une autre fois......
................bon c'est exacte , le PC chez l'enfant a la naissance est d'environ 35 cm [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] , son poid varie entre 3_ 3.5kg, sa taille est d'environ 50cm.
..................jusqu'a l'age d'un an vous pouvez utiliser cette methode pour calculer le PC par apport a la taille:
----------- PC = T/2 + 10
----------------- vous savez quoi sur l'hyperkinesie chez l'enfant ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
................bon c'est exacte , le PC chez l'enfant a la naissance est d'environ 35 cm [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] , son poid varie entre 3_ 3.5kg, sa taille est d'environ 50cm.
..................jusqu'a l'age d'un an vous pouvez utiliser cette methode pour calculer le PC par apport a la taille:
----------- PC = T/2 + 10
----------------- vous savez quoi sur l'hyperkinesie chez l'enfant ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
talalamed- Membre hyper-actif
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- Message n°31
Re: la pediatrie en questions
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°32
Re: la pediatrie en questions
- bonjour, l'hyperkinesie ou instabilité psychomotrice chez l'enfant touche le garçon dans 3/4 des cas avec familiarité et facilité de contact, quasi impossibilité de rester immobile, attention labile, hyperactivité motrice permanente
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°33
Re: la pediatrie en questions
L'enfant hyperkinétiqueOlivier Revol, Daniel Gérard, Pierre Fourneret,
Hughes Desombres, Régis de Villard
Hôpital Neurologique de Lyon
Hughes Desombres, Régis de Villard
Hôpital Neurologique de Lyon
L'enfant hyperactif : approche thérapeutique ; place du Méthylphénidate (RITALINE R) I - Introduction L'instabilité psychomotrice de l'enfant est décrite depuis le début du siècle, en particulier par les auteurs anglo-saxons. Différentes terminologies se sont succédées en fonction des descriptions et des hypothèses étiologiques (hyperkinésie, instabilité psychomotrice, Désordre Cérébral Mineur ...). La définition actuelle, proposée par le D.S.M. IV (Diagnostic and Statistic Manual, 4ème édition), regroupe l'ensemble de la symptomatologie sous le terme de : « troubles du déficit de l'attention / hyperactivité » (T.D.A.H.). Si le tableau clinique est maintenant bien défini et repose sur des critères extrêmement précis, le problème de sa pathogénie reste entier et continue de diviser les auteurs, rendant compte des différences considérables dans sa prise en charge. Au-delà des querelles théoriques, il paraît fondamental de diagnostiquer de façon précoce ce trouble, du fait de l'importance de son retentissement sur la scolarité, le développement cognitif et l'univers relationnel de l'enfant. II - Historique Depuis la première description de DEMOOR (1901) qui apparentait l'hyperactivité à une véritable « chorée mentale », deux conceptions opposées se sont développées ; l'une, francophone, a surtout tenté de rattacher la symptomatologie à une perturbation de l'affectivité (HEUYER, 1914 - PAUL-BONCOUR, 1919 - WALLON, 1925 - MICHAUX - 1950), même si, plus près de nous, AJURIAGERRA (1970) soulève l'idée d'une éventuelle participation organique, en soulignant l'extrême polymorphisme du syndrome. La conception anglo-saxonne a, quant à elle, toujours considéré l'existence d'une origine exclusivement organique (HOHMAN, 1922 - STRECKER, 1923) en faisant référence aux explosions motrices observées chez certains enfants souffrant de séquelles d'encéphalite ou de traumatisme crânien. Un peu plus tard, BRADLEY (1937) décrit pour la première fois une amélioration indiscutable de l'hyperactivité présentée par 30 enfants instables après un traitement psychostimulant, accentuant ainsi l'hypothèse d'un dysfonctionnement neurobiologique. Le terme d'hyperkinésie fut introduit par EISENBERG (1957) tandis que CLEMENTS (1966) développait la notion de Minimal Brain Dysfonction pour expliquer les troubles psychomoteurs, d'apprentissage et de Comportement présentés par certains enfants d'intelligence normale. L'hypothèse d'une atteinte discrète touchant seulement certaines fonctions telle que la mémoire, le langage, l'attention et la motricité fine, devait permettre d'expliquer tout à la fois l'origine du syndrome et son amélioration spontanée avec la poursuite de la maturation neurologique. Actuellement, les deux tendances s'opposent de façon péremptoire, la plupart des auteurs anglo-saxons continuant de faire de l'hyperactivité une entité clinique spécifique, secondaire à une atteinte organique, tandis qu'une grande majorité des pédopsychiatres français refusent ce concept en considérant l'instabilité psychomotrice comme le symptôme d'un dysfonctionnement affectif et/ou relationnel. III - Classification Si le syndrome hyperkinétique n'apparaît pas dans la classification française des troubles psychiatriques, pour les raisons suscitées, on retrouve par contre ce syndrome dans la classification internationale des maladies mentales (C.I.M.10), et surtout dans la classification anglo-saxonne (D.S.M.IV) qui fait référence en matière de recherche. Cette classification distingue deux entités syndromiques : le trouble de l'attention avec hyperactivité et l'impulsivité (cf. annexe 1). Son aspect très clinique permet d'homogénéiser les observations entre différents cotateurs et devrait être adoptée progressivement par l'ensemble des professionnels. IV - Prévalence Toutes les études rapportent des chiffres équivalents, quels que soient les lieux d'observation : 3 à 5 % de la population prépubère serait concernée par ce syndrome (BIR, 1988 - OFFORD, 1989 - BARKLEY, 1990). Ces taux seraient d'ailleurs en constante augmentation depuis la diffusion des travaux récents et l'amélioration des critères d'évaluation. La prédominance masculine est nette (4 à 9 garçons pour 1 fille), sans que l'on puisse réellement apporter d'explications à cette sous-représentation féminine ; on imagine tout de même que l'expression clinique du T.D.A.H., moins bruyante et donc moins perturbatrice chez les fillettes, retarde son identification. V -Description clinique Le diagnostic sera facile dans la forme typique : il s'agit d'un enfant d'âge scolaire qui présente des symptômes excessifs par rapport à son âge, son quotient intellectuel et les situations dans lesquelles il se trouve. Par ailleurs, l'ensemble de la symptomatologie constaté par le médecin et décrit par l'entourage doit être retrouvé dans toutes les situations que peut rencontrer le jeune patient (domicile, école, situation sociale ... ). De fait, la grande majorité des consultations qui nous sont adressées sont motivées par des difficultés d'apprentissage en C.P. ou des troubles du comportement à l'école et à la maison. L'étude sémiologique recherche l'association de 3 syndromes : l'hyperactivité motrice, le trouble de l'attention et l'impulsivité. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] L'hyperactivité motrice fait état d'enfants en perpétuel mouvement, incapables de tenir en place, avec une activité globale désorganisée, non constructive et mal coordonnée. Il s'agit d'enfants qui courent et grimpent partout, s'agitent en permanence, souvent de façon joyeuse, sont incapables de rester assis face à une table de travail ou lors des repas, ne peuvent jouer seuls et prennent fréquemment des risques. On retrouve d'ailleurs tous ces éléments de façon symptomatique sur les carnets de notes (nombreuses annotations quant à la discipline et l'agitation) et sur le carnet de santé (fréquentations des services d'urgence pour des blessures minimes mais répétitives). [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Le syndrome « troubles de l'attention » représente certainement l'élément central puisqu'il est considéré par les auteurs anglo-saxons comme la base physiopathologique du dysfonctionnement. On retrouve des symptômes tout à fait typiques telle qu'une difficulté, voire une incapacité, à se concentrer, une distractibilité quasi-constante qui indispose les enseignants, l'enfant paraissant ne pas écouter, et une extrême difficulté à terminer ce qu'il entreprend, qu'il s'agisse d'un travail scolaire ou de jeux. Enfin, ce déficit attentionnel conduira fréquemment l'enfant à perdre ses objets de travail, avec des conséquences péjoratives sur son rendement intellectuel. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] L'impulsivité est la 3ème composante du syndrome ; définie comme le besoin impérieux d'accomplir un acte, elle sera souvent responsable du rejet de l'enfant par son entourage. Elle le gêne à la fois dans son fonctionnement moteur (impatience, brusquerie) et son développement cognitif (incapacité à réfléchir aux conséquences de ses actes). Sur le plan pratique, elle transparaît chez des enfants incapables d'attendre leur tour, se précipitant pour répondre aux questions, interrompant le plus souvent les autres, abandonnant une activité avant de l'avoir terminée, incapables d'organiser leur travail, sans stratégie ni planification, et ayant surtout de grandes difficultés à se conformer aux ordres. Sur le plan émotionnel, l'impulsivité sera illustrée par une fragilité de l'humeur (passage du rire aux larmes) et l'intolérance aux frustrations, responsable de réactions d'agressivité, tandis que l'enfant paraîtra le plus souvent insensible tant aux récompenses qu'aux menaces de punition. Du fait de ce tableau clinique péjoratif, les enfants hyperactifs sont souvent exclus par leur famille, par leurs pairs, et mal tolérés par les enseignants ; le retentissement scolaire est rapidement important, tandis que l'enfant va développer insidieusement une mauvaise estime de lui-même responsable, dans les cas les plus graves, d'un tableau dépressif sévère. Le diagnostic est plus difficile dans les formes atypiques, en particulier chez l'enfant d'âge préscolaire. Là, l'hyperactivité est souvent physiologique et le diagnostic sera porté avant tout devant l'exagération de particularités développementales (hyperactivité, inattention), la tendance répétée aux accidents, et l'association possible de retards du développement (langage, motricité...). Seule l'évolution permettra d'affirmer la présence d'un authentique trouble déficitaire de l'attention ou d'un simple tempérament excessif. VI - Comorbidité Le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (T.D.A.H.) est souvent associé à d'autres pathologies mentales de l'enfant ; les syndromes, les plus fréquemment rencontrés sont : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Les troubles spécifiques du développement (50 à 80 % des enfants hyperactifs versus 2 % de la population générale, Mc GEE, 1988) ; [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Troubles oppositionnels avec provocation et/ou troubles des conduites (cf. annexe 2). Leur taux de prévalence chez les enfants porteurs de T.D.A.H. varie de 20 % (BARKLEY,1990) à 60 % (BIERDERMAN, 1990). [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Troubles anxieux et dépressifs : les enfants avant 11 ans seraient particulièrement touchés par la coexistence de troubles anxieux et de déficit attentionnel ; la prévalence de l'anxiété chez les enfants hyperactifs est en effet estimée à 27 % (versus 3,5 % dans la population générale). La dépression, quant à elle, est estimée à 10 % (versus 1,8 % dans la population contrôle) (ANDERSON, 1987). VII - Diagnostic différentiel Il est important de différencier les authentiques troubles déficitaires de l'attention d'autres formes symptomatiques. On tentera d'éliminer la turbulence « normale » en particulier en fonction de l'âge de développement, l'instabilité secondaire à des conditions environnementales défectueuses, l'instabilité ou les déficits d'attention secondaires à certains traitements (DEPAKINE, Corticoïdes...), l'instabilité comme conséquence d'un retard mental, d'un autisme et/ou de troubles envahissants du développement, ou enfin de troubles sévères des apprentissages. On évoquera également le cas particulier des enfants précoces qui ont de grandes difficultés à maintenir leur attention durant la classe mais qui, à la différence des T.D.A.H., ont terminé les exercices afin de passer aux suivants ! VIII - Evolution Le devenir des enfants hyperactifs est bien sûr au centre des préoccupations des cliniciens. De nombreuses études prospectives et contrôlées ont permis de préciser l'évolution de cette population : on retrouve 20 à 30 % de rémission totale de la symptomatologie à l'adolescence (WEIS, 1971 - BARKLEY, 1990), tandis que 40 % des enfants présentent une persistance de là symptomatologie déficitaire avec un retentissement cognitif, comportemental et relationnel. Enfin, le pronostic serait assombri par 30 % d'enfants qui développent des troubles des conduites antisociales à l'adolescence. À l'âge adulte, on retrouve une diminution importante de l'hyperagitation motrice (8 % seulement resteraient hyperkinétiques), tandis que 20 % des jeunes patients conserveraient des difficultés d'apprentissage ou des troubles émotionnels (MANUZZA, 1993). Un certain nombre de facteurs seraient prédictifs d'une évolution péjorative, en particulier vers des troubles des conduites sociales ; il s'agit d'une part de la coexistence d'autres affections mentales (troubles des conduites), d'autre part du milieu socio-économique et du quotient intellectuel ; les enfants à Q.I. élevé, émanant de milieux favorisés auraient un bien meilleur pronostic. Enfin, l'âge de début semble un bon indicateur, la précocité de l'apparition du tableau étant un facteur de mauvais pronostic. IX -Démarches diagnostiques L'extrême rigueur portée par le clinicien dans l'approche diagnostique doit rester un impératif afin d'éviter les débordements constatés en Amérique du Nord, responsables de la mauvaise réputation de ce symptôme et des thérapeutiques médicamenteuses dans notre pays. Le premier temps consiste en une reconstitution soucieuse de l'anamnèse, à la recherche d'antécédents néo-nataux, de carence de stimulations ou de pathologies parentales, somatiques ou psychiques. Par la suite, le recueil de la symptomatologie devra se faire « in-vivo » au cabinet du praticien, sachant tout de même que les enfants T.D.A.H. sont capables d'inhiber leur l'hyperactivité en situation duelle. Les observations directes en milieu scolaire ou à l'hôpital peuvent présenter un intérêt, mais les outils les plus appropriés actuellement semblent être les échelles et les questionnaires, proposés au père, à la mère et aux enseignants. On utilise le plus souvent l'échelle de Conners (1973) qui comprend un questionnaire destiné aux parents avec 43 items, un autre destiné aux enseignants avec 28 items, tandis qu'une version abrégée à 10 items a été développée (annexe 3). Tous les items de ces questionnaires sont standardisés et permettent d'obtenir un score significatif de la pathologie de l'enfant, en fonction de l'âge et du sexe. L'échelle de Conners est spécifique de l'enfant qui souffre de troubles d'attention ; elle permettra de suivre l'évolution du trouble, en particulier lorsqu'un traitement a été mis en place. On peut également utiliser les questionnaires d'Achenbach (Child Behavior Checklist ou C.B.C.L., annexe 4) qui donnent une appréciation globale du comportement de l'enfant. Il nous semble actuellement que toute décision thérapeutique ne devrait se faire qu'après utilisation de ce type d'instruments qui ont le mérite d'objectiver la symptomatologie, en dehors de tout prérequis théorique. X - Facteurs étiopathogéniques L'étiologie du trouble déficitaire de l'attention n'a pas été encore totalement expliquée. De nombreuses hypothèses ont été envisagées [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Existence d'une atteinte neurologique périnatale, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Existence d'une vulnérabilité génétique, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Anomalies neurobiologiques. Cette dernière hypothèse est confirmée par les techniques d'imagerie dynamique, en particulier le Spect, qui montre une diminution du débit sanguin cérébral au niveau des aires préfrontales et du striatum, et le Pet-Scan qui rapporte également une diminution du métabolisme du glucose au niveau des aires frontales. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Facteurs psycho-sociaux L'existence d'un faible niveau socio-économique et de perturbations familiales a été également incriminée dans la génèse du trouble déficitaire de l'attention. En fait, il paraît raisonnable d'imaginer que ce symptôme n'est que la voie finale commune d'une vulnérabilité biologique et de différentes variables plus ou moins intriquées. Cette multiplicité étiologique rend compte de la nécessité d'une approche thérapeutique plurimodale. XI - Traitement Le traitement associera une aide psychologique, éducative, rééducative, et médicamenteuse. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Psychothérapie Les psychothérapies comportementales ont pu permettre d'augmenter le contrôle par l'enfant de ses réactions, tandis que les psychothérapies d'inspiration analytique propose un travail sur les perturbations émotionnelles ; les psychothérapies familiales, analytiques ou systémiques cherchent à repositionner l'enfant dans le contexte général et dans ses interactions avec son environnement immédiat. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Une aide éducative est fondamentale ; elle passe par un véritable travail de guidance familiale, encourageant les parents et les éducateurs à maintenir un cadre strict tout en comprenant les excès et les débordements de l'enfant. Des moments de « Time-Out » ont été préconisés par les auteurs anglo-saxons, afin d'amener l'enfant à s'auto-apaiser dans les moments difficiles, en l'accompagnant dans un lieu calme, en dehors de tout excès de stimulations qui comme le relève la pratique, aggravent le déficit attentionnel. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Les différentes rééducations, orthophonique et en psychomotricité, permettent d'une part de corriger d'éventuels déficits mais surtout d'améliorer le contrôle de l'impulsivité. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Les psychotropes sont utilisés en cas de retentissement majeur sur l'évolution globale de l'enfant. Différentes molécules ont été préconisées : * Neuroleptiques : les plus fréquemment cités sont la Thioridazine (MELLERIL) et la Chlorpromazine (LARGACTIL). La tolérance est médiocre, en particulier du fait de la sédation, et notre pratique rapporte de fréquents effets paradoxaux, même si, dans un premier temps, ils permettent souvent d'apaiser l'agitation anxieuse * Les antidépresseurs sont une bonne alternative, en particulier les antidépresseurs tricycliques stimulants (ANAFRANIL) ou sédatifs (LAROXYL, QUITAXON). Si leur efficacité est démontrée, elle est limitée par un échappement fréquent et des effets secondaires gênants (sécheresse buccale, troubles de l'accommodation). * Les psychostimulants conservent une place de choix avec une action directe sur la cause potentielle du trouble, puisqu'en augmentant la vigilance, ils atténuent grandement les effets péjoratifs du déficit attentionnel. Le médicament le plus utilisé est le Méthylphénidate (RITALINE). Les modalités de prescription sont extrêmement standardisées ; 1'A.M.M., qui date du mois de juillet 1995, est réservée aux enfants de plus de 6 ans. La première prescription est exclusivement hospitalière et doit émaner d'un médecin spécialiste (pédiatre, pédopsychiatre ou neurologue). Par la suite, le traitement peut être reconduit par tout médecin, libéral ou hospitalier, pendant une période d'un an. Passé ce délai, le renouvellement doit être à nouveau effectué par un médecin hospitalier. La délivrance n'est autorisée que pour 28 jours sur carnet à souches car il s'agit d'un médicament figurant sur la liste des stupéfiants. Ce produit bénéficie d'une demi-vie plasmatique relativement courte (2 à 4 heures), responsable d'un effet rapide (30 à 45 minutes après la prise), mais de courte durée, nécessitant un fractionnement de la prise en 2 fois (généralement le matin et à midi) La posologie journalière varie selon les patients, elle est comprise entre 0,5 et 1 mg/kg/j, dose maximale qui sera atteinte par paliers sur quelques jours. En pratique, ce traitement sera donné les lundis, mardis, jeudis et vendredis, c'est-à-dire les jours de classe. Il est recommandé de l'interrompre les jours fériés et pendant les vacances scolaires afin d'éviter l'accoutumance et certains effets secondaires. La durée du traitement sera d'un mois minimum ; il est habituel de le poursuivre pendant toute l'année scolaire. Les contre-indications absolues sont, en-dehors d'une éventuelle intolérance au produit, l'existence de tics ou de manifestations épileptiques. On surveillera l'apparition d'éventuels effets secondaires, peu nombreux et inconstants, en général doses-dépendants : on pourra ainsi rencontrer une anorexie plus ou moins accompagnée de perte de poids, une insomnie d'endormissement, des modifications de l'humeur à type d'anxiété et d'irritabilité et l'apparition éventuelle de tics moteurs ou vocaux. Le problème le plus gênant concerne un éventuel ralentissement de la croissance ; cet effet est controversé et ne s'observerait que lors des prescriptions prolongées, en particulier lorsqu'il n'y a pas d'interruption au cours de l'année. Il semble que cette stagnation staturo-pondérale soit réversible à l'arrêt de la thérapeutique. CONCLUSION Le syndrome de déficit de l'attention avec hyperactivité est un trouble relativement fréquent et extrêmement gênant pour l'enfant ; les indications thérapeutiques s'appuient sur une observation clinique et une anamnèse très précises, le traitement par psychostimulants devant être réservé aux formes les plus sévères, en particulier lorsqu'il existe un retentissement important sur les apprentissages et la vie sociale. Le traitement reste avant tout plurifocal et doit associer à la fois des mesures éducatives, rééducatives et médicales afin d'en optimiser les résultats. Enfin, des travaux de recherche devraient permettre de mieux comprendre l'origine de ce syndrome,: en précisant les structures cérébrales en cause. L'hypothèse d'un dysfonctionnement du cortex préfrontal est la plus séduisante. Elle pourrait permettre une évaluation neuro-psychologique des enfants à risque, ce qui, en confirmant ou en infirmant le diagnostic, limiterait ainsi les prescriptions abusives. |
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°34
Re: la pediatrie en questions
minaku- Progresse
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- Message n°35
Re: la pediatrie en questions
maladie des membranes hyaline merci pour ces questions jazaka allahou khairan
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°36
Re: la pediatrie en questions
_ c'est juste minaku [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
la maladie des mmembranes hyalines est parmis les etiologies les plus
habituellees de detresse resperatoire du NNé prématuré, mais on doit
penser a l'atresie choanale bilaterale ...
-------------------13 eme question:
................quel syndrome clinique est lié a l'infection du Nrs par le virus resperatoir syncytial ?
la maladie des mmembranes hyalines est parmis les etiologies les plus
habituellees de detresse resperatoire du NNé prématuré, mais on doit
penser a l'atresie choanale bilaterale ...
-------------------13 eme question:
................quel syndrome clinique est lié a l'infection du Nrs par le virus resperatoir syncytial ?
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°37
Re: la pediatrie en questions
talalamed- Membre hyper-actif
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- Message n°38
Re: la pediatrie en questions
-------------------13 eme question:
................quel syndrome clinique est lié a l'infection du Nrs par le virus resperatoir syncytial ?
Le virus respiratoire syncytiale atteint essentiellement L’appareil respiratoire, soit les bronches (gros calibre), soit les bronchiole (petit calibre).....
Donc le syndrome Clinique lié a ce virus est Un SYNDROME Respiratoire ..Une Bronchiolite ou une Bronchite.
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°39
Re: la pediatrie en questions
- tres bien talalamed [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] et surtout la bonchiolite aigue du Nrs ( dans 80 pour cent est due au virus reperatoire syncitial)
................14 eme question: quels sont les signes morphologiques specifiques observés en cas de trisomie 21? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
................14 eme question: quels sont les signes morphologiques specifiques observés en cas de trisomie 21? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°40
Re: la pediatrie en questions
mac_eden- Super-membre
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- Message n°41
Re: la pediatrie en questions
Désolé pour cette longue absence, pour les signes morphologiques spécifiques de la trisomie 21:
-Epaississement des tissus mous de la nuque
-Raccourcissement des membres
-Hypoplasie des os propres du nez
- Faciès mongoloïde
-Epaississement des tissus mous de la nuque
-Raccourcissement des membres
-Hypoplasie des os propres du nez
- Faciès mongoloïde
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°42
Re: la pediatrie en questions
.............bonjour, normalement aucun signe n'est spécifique............mai on constate un syndrome dysmorphique :
.............- microcéphalie.
.............- occiput plat.
..............- nuque courte.
..............- epicanthus interne.
..............-tache de bruchflield.
..............- racine de nez plate.
..............- petite bouche avec macroglossie.
...............- hélix anormal avec petites oreilles.
...............- abdomen distendue.
...............- hernie ombilicale.
...............- pieds et mains larges et trapus avec doigts courts.
...............- hypotonie musculo-ligamentaire.
------------- un purpura des membres inférieurs chez un enfant avec fébricule et un bon état général , on évoque quoi en premier ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
.............- microcéphalie.
.............- occiput plat.
..............- nuque courte.
..............- epicanthus interne.
..............-tache de bruchflield.
..............- racine de nez plate.
..............- petite bouche avec macroglossie.
...............- hélix anormal avec petites oreilles.
...............- abdomen distendue.
...............- hernie ombilicale.
...............- pieds et mains larges et trapus avec doigts courts.
...............- hypotonie musculo-ligamentaire.
------------- un purpura des membres inférieurs chez un enfant avec fébricule et un bon état général , on évoque quoi en premier ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
talalamed- Membre hyper-actif
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- Message n°43
Re: la pediatrie en questions
mac_eden- Super-membre
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- Message n°44
Re: la pediatrie en questions
J'évoquerai plutôt un purpura sur infection virale(EBV/CMV)
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°45
Re: la pediatrie en questions
..... bonjour, en premier on evoque surtout Purpura rhumatoïde [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] talalamed , (............... est une vascularite touchant préférentiellement l'enfant entre 5 et 10 ans, les signes les plus habituels sont : un purpura déclive touchant préférentiellement les membres inférieurs , des douleurs abdominales pseudo-chirurgicales, arthralgies, l'hémostase et les plaquettes sont normales..... )
-------------quel probabilité qu'une femme dont les deux frères ont la myopathie de ducchenne de Boulogne ait un enfant atteint ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
-------------quel probabilité qu'une femme dont les deux frères ont la myopathie de ducchenne de Boulogne ait un enfant atteint ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°46
Re: la pediatrie en questions
talalamed- Membre hyper-actif
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- Message n°47
Re: la pediatrie en questions
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°48
Re: la pediatrie en questions
................. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] talalamed c'est a vous de calculer :
----------- la prababilité a la femme davoir le caryotype XX'.
----------- puis la probabilité de la femme porteuse d'avoir un enfant atteint.
-----------et la probabilité globale c'est que je cherche.... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
----------- la prababilité a la femme davoir le caryotype XX'.
----------- puis la probabilité de la femme porteuse d'avoir un enfant atteint.
-----------et la probabilité globale c'est que je cherche.... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
chaloul nasreddine- Membre hyper-actif
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- Message n°49
Re: la pediatrie en questions
Qu’est-ce que c’est ?
La dystrophie musculaire de
Duchenne a été décrite pour la première fois en 1860, par le docteur
Duchenne, de Boulogne-sur-Mer. Il s’agit d’une maladie génétique :
l’anomalie se trouve sur un gène du chromosome X. C’est la forme de
myopathie de l’enfant la plus répandue. Les petits garçons atteints
voient leurs muscles s’atrophier progressivement, jusqu’à ne plus
pouvoir effectuer aucun geste de la vie courante.
Quelles sont les causes ?
La
dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) est liée à l’absence dans le
corps d’une protéine, la dystrophine. Le gène qui code la production de
la dystrophine est défectueux chez les malades de Duchenne. Ainsi, la
protéine produite n’est pas fonctionnelle. Sans elle, la membrane des
cellules musculaires est fragilisée et les fibres se détruisent peu à
peu.Le gène déficient a été identifié en 1986. Seuls les garçons sont
touchés car il s’agit d’une version du gène dite récessive, située sur
le chromosome sexuel X.
Quels sont les symptômes ?
La DMD touche l’ensemble des muscles de l’organisme, y compris le cœur.
- La maladie est souvent indétectable avant l’âge de trois ans, quoique l’enfant commence en général à marcher très tard.
- Ensuite, il tombe souvent, se relève difficilement.
- Des gestes tels que monter des escaliers sont problématiques.
- Vers 10-12 ans, l’utilisation d’un fauteuil roulant s’avère indispensable.
- Progressivement, les muscles du tronc et des membres s’affaiblissent également. - Des scolioses graves sont souvent associées.
Quelle est l’évolution de la maladie et quelles conséquences sur la vie quotidienne ?
La
maladie se manifeste d’abord dans les muscles inférieurs. Au bout de
quelques années, l’enfant n’a plus le choix que de se déplacer en
fauteuil. Son tonus musculaire dans le tronc et les bras disparaît peu
à peu, entraînant des complications (risques d’infections
broncho-pulmonaires et de décompensation ventilatoire). Des
trachéotomies sont souvent réalisées afin de l’aider à respirer. Un
fauteuil électrique peut lui permettre de garder une certaine autonomie
de déplacement.
Les progrès des aides techniques et des chercheurs
ont permis d’augmenter considérablement l’espérance de vie.
Aujourd’hui, elle dépasse largement la 20e année.
Quels sont les traitements disponibles ?
Pour l’heure, aucun traitement ne permet de guérir la myopathie de Duchenne.
-
On peut ralentir l’évolution de la maladie grâce à une prise en charge
pluridisciplinaire (orthopédique, respiratoire, cardiaque,
nutritionnelle, etc.).
- Les glucocorticoïdes sont utilisés
outre-Atlantique. Ils sont efficaces pour améliorer la force motrice
pendant au moins six mois et prolonger la marche pendant deux ans.
La dystrophie musculaire de
Duchenne a été décrite pour la première fois en 1860, par le docteur
Duchenne, de Boulogne-sur-Mer. Il s’agit d’une maladie génétique :
l’anomalie se trouve sur un gène du chromosome X. C’est la forme de
myopathie de l’enfant la plus répandue. Les petits garçons atteints
voient leurs muscles s’atrophier progressivement, jusqu’à ne plus
pouvoir effectuer aucun geste de la vie courante.
Quelles sont les causes ?
La
dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) est liée à l’absence dans le
corps d’une protéine, la dystrophine. Le gène qui code la production de
la dystrophine est défectueux chez les malades de Duchenne. Ainsi, la
protéine produite n’est pas fonctionnelle. Sans elle, la membrane des
cellules musculaires est fragilisée et les fibres se détruisent peu à
peu.Le gène déficient a été identifié en 1986. Seuls les garçons sont
touchés car il s’agit d’une version du gène dite récessive, située sur
le chromosome sexuel X.
Quels sont les symptômes ?
La DMD touche l’ensemble des muscles de l’organisme, y compris le cœur.
- La maladie est souvent indétectable avant l’âge de trois ans, quoique l’enfant commence en général à marcher très tard.
- Ensuite, il tombe souvent, se relève difficilement.
- Des gestes tels que monter des escaliers sont problématiques.
- Vers 10-12 ans, l’utilisation d’un fauteuil roulant s’avère indispensable.
- Progressivement, les muscles du tronc et des membres s’affaiblissent également. - Des scolioses graves sont souvent associées.
Quelle est l’évolution de la maladie et quelles conséquences sur la vie quotidienne ?
La
maladie se manifeste d’abord dans les muscles inférieurs. Au bout de
quelques années, l’enfant n’a plus le choix que de se déplacer en
fauteuil. Son tonus musculaire dans le tronc et les bras disparaît peu
à peu, entraînant des complications (risques d’infections
broncho-pulmonaires et de décompensation ventilatoire). Des
trachéotomies sont souvent réalisées afin de l’aider à respirer. Un
fauteuil électrique peut lui permettre de garder une certaine autonomie
de déplacement.
Les progrès des aides techniques et des chercheurs
ont permis d’augmenter considérablement l’espérance de vie.
Aujourd’hui, elle dépasse largement la 20e année.
Quels sont les traitements disponibles ?
Pour l’heure, aucun traitement ne permet de guérir la myopathie de Duchenne.
-
On peut ralentir l’évolution de la maladie grâce à une prise en charge
pluridisciplinaire (orthopédique, respiratoire, cardiaque,
nutritionnelle, etc.).
- Les glucocorticoïdes sont utilisés
outre-Atlantique. Ils sont efficaces pour améliorer la force motrice
pendant au moins six mois et prolonger la marche pendant deux ans.
-
De nombreux essais très prometteurs sont en cours sur les animaux. Des
souris atteintes d’une maladie comparable semblent avoir été soignées,
même si on manque encore de recul pour décrire les effets à long terme.
Des équipes de chercheurs travaillent également pour soigner des chiens
Golden retrievers touchés par l’équivalent de la maladie de Duchenne.
On parle de thérapie génique.
De nombreux essais très prometteurs sont en cours sur les animaux. Des
souris atteintes d’une maladie comparable semblent avoir été soignées,
même si on manque encore de recul pour décrire les effets à long terme.
Des équipes de chercheurs travaillent également pour soigner des chiens
Golden retrievers touchés par l’équivalent de la maladie de Duchenne.
On parle de thérapie génique.
talalamed- Membre hyper-actif
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- Message n°50
Re: la pediatrie en questions
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Jeu 21 Nov 2024, 10:09 par kazran