esk les somnifères ( tetrezepam) sont autorisés chez le parkinsinien ?
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parkinson
rayhana kass- Membre fidèle
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parkinson
rayhana kass- Membre fidèle
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- Message n°2
Re: parkinson
et à quelle posologie ?
rayhana kass- Membre fidèle
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- Message n°3
Re: parkinson
foued-neuro- Super-membre
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- Message n°4
Re: parkinson
Tétrazépam est un nom générique pour le nom de marque des médicaments Clinoxan, Epsipam, Myolastan, Musaril, Relaxam, Spasmorelax . Il est prescrit pour la gestion de l'anxiété troubles, et pour le soulagement à court terme des crises d'angoisse ou de panique. Il peut également être utilisé pour le traitement des symptômes de la sévère sevrage de l'alcool , y compris l'agitation, des tremblements , de delirium tremens , et hallucinatoire.
D'autres conditions qui Tétrazépam est utilisé pour comprendre des
spasmes musculaires, spasticité, les mouvements involontaires se tordre,
et le syndrome de l'homme raide. Il est parfois utilisé en combinaison avec d'autres médicaments comme traitement pour les troubles convulsifs. Il est disponible en comprimés et en solution liquide.
Si vous arrêtez de prendre Tétrazépam brusquement, vous pourriez
éprouver des symptômes de sevrage, y compris des convulsions, des
tremblements, l'estomac douleurs, crampes musculaires, des vomissements , et des sueurs.
Symptômes de sevrage les plus graves se produisent lorsque vous prenez
Tétrazépam pour une plus longue période de temps que si vous l'avez pris
pour un plus court.
Si vous êtes l'arrêt du traitement avec Spamorelax, votre médecin
devrait progressivement mettre fin à votre dosage pour aider à minimiser
les symptômes de sevrage.
Si vous êtes sujet aux addictions votre médecin si vous observez
attentivement pour vous assurer de ne pas devenir accro à Tétrazépam. Il ne doit pas être administré aux patients qui ont un certain type de glaucome aigu connu sous le nom glaucome à angle fermé.
Si vous souffrez de dépression
, en plus de l'autre pour lequel vous recevez un traitement, vous
devriez être conscient que Tétrazépam n'est pas indiqué pour vous aider
avec cette condition. Si votre dépression vous mène à des pensées suicidaires ou des tendances, Tétrazépam ne sera pas traiter cette condition.
Vous devriez consulter votre médecin immédiatement, il ou elle voudra
peut-être ajuster vos médicaments ou de prescrire quelque chose d'autre.
Quelques effets secondaires communs de Tétrazépam peuvent inclure la somnolence, la fatigue, et l'instabilité. Les effets moins fréquents sont la confusion , la constipation , la dépression, vision double ou vision floue, troubles de l'élocution, maux de tête , bas de sang de pression, contrôle de la vessie faible, la jaunisse, modifications de la libido, nausées , les changements dans la quantité de salive , des éruptions cutanées, des tremblements, incapacité à uriner, ou des étourdissements .
D'autres réactions sont connus comme paradoxale, ce qui signifie que
les effets secondaires peuvent être les symptômes que vous essayez de
traiter en premier lieu. Il peut s'agir d'états excités, l'anxiété, des hallucinations , de la spasticité musculaire accrue, insomnie , difficultés de sommeil, ou d'autres rage. Si l'une de ces situations, vous devez arrêter de prendre Tétrazépam et appelez votre médecin immédiatement. Effets indésirables très rares peuvent inclure une faible numération de globules blancs, la jaunisse et des changements dans le cœur taux.
Ceux-ci ne semblent pas experts concernent, mais indiquent que vous
devriez être surveillée régulièrement pendant que vous prenez
Tétrazépam.
Certains effets secondaires graves indiquent que vous devriez appeler
votre médecin immédiatement; il s'agit notamment des convulsions,
traînante, incapacité à rester assis, les mains tremblantes, ou une
éruption cutanée sévère.
Si vous êtes enceinte ou prévoyez le devenir enceinte, vous ne devriez pas recevoir un traitement par Tétrazépam. Tétrazépam peut contribuer à des malformations fœtales et autres dommages à un enfant en développement.
Tétrazépam peut être prescrit pour des enfants, mais il n'a pas été
évaluée chez les enfants de moins de six mois, il ne devrait pas être
administré aux nourrissons.
D'autres conditions qui Tétrazépam est utilisé pour comprendre des
spasmes musculaires, spasticité, les mouvements involontaires se tordre,
et le syndrome de l'homme raide. Il est parfois utilisé en combinaison avec d'autres médicaments comme traitement pour les troubles convulsifs. Il est disponible en comprimés et en solution liquide.
Si vous arrêtez de prendre Tétrazépam brusquement, vous pourriez
éprouver des symptômes de sevrage, y compris des convulsions, des
tremblements, l'estomac douleurs, crampes musculaires, des vomissements , et des sueurs.
Symptômes de sevrage les plus graves se produisent lorsque vous prenez
Tétrazépam pour une plus longue période de temps que si vous l'avez pris
pour un plus court.
Si vous êtes l'arrêt du traitement avec Spamorelax, votre médecin
devrait progressivement mettre fin à votre dosage pour aider à minimiser
les symptômes de sevrage.
Si vous êtes sujet aux addictions votre médecin si vous observez
attentivement pour vous assurer de ne pas devenir accro à Tétrazépam. Il ne doit pas être administré aux patients qui ont un certain type de glaucome aigu connu sous le nom glaucome à angle fermé.
Si vous souffrez de dépression
, en plus de l'autre pour lequel vous recevez un traitement, vous
devriez être conscient que Tétrazépam n'est pas indiqué pour vous aider
avec cette condition. Si votre dépression vous mène à des pensées suicidaires ou des tendances, Tétrazépam ne sera pas traiter cette condition.
Vous devriez consulter votre médecin immédiatement, il ou elle voudra
peut-être ajuster vos médicaments ou de prescrire quelque chose d'autre.
Quelques effets secondaires communs de Tétrazépam peuvent inclure la somnolence, la fatigue, et l'instabilité. Les effets moins fréquents sont la confusion , la constipation , la dépression, vision double ou vision floue, troubles de l'élocution, maux de tête , bas de sang de pression, contrôle de la vessie faible, la jaunisse, modifications de la libido, nausées , les changements dans la quantité de salive , des éruptions cutanées, des tremblements, incapacité à uriner, ou des étourdissements .
D'autres réactions sont connus comme paradoxale, ce qui signifie que
les effets secondaires peuvent être les symptômes que vous essayez de
traiter en premier lieu. Il peut s'agir d'états excités, l'anxiété, des hallucinations , de la spasticité musculaire accrue, insomnie , difficultés de sommeil, ou d'autres rage. Si l'une de ces situations, vous devez arrêter de prendre Tétrazépam et appelez votre médecin immédiatement. Effets indésirables très rares peuvent inclure une faible numération de globules blancs, la jaunisse et des changements dans le cœur taux.
Ceux-ci ne semblent pas experts concernent, mais indiquent que vous
devriez être surveillée régulièrement pendant que vous prenez
Tétrazépam.
Certains effets secondaires graves indiquent que vous devriez appeler
votre médecin immédiatement; il s'agit notamment des convulsions,
traînante, incapacité à rester assis, les mains tremblantes, ou une
éruption cutanée sévère.
Si vous êtes enceinte ou prévoyez le devenir enceinte, vous ne devriez pas recevoir un traitement par Tétrazépam. Tétrazépam peut contribuer à des malformations fœtales et autres dommages à un enfant en développement.
Tétrazépam peut être prescrit pour des enfants, mais il n'a pas été
évaluée chez les enfants de moins de six mois, il ne devrait pas être
administré aux nourrissons.
alilia albert- Membre fidèle
- Messages : 31
Date d'inscription : 05/11/2010
Age : 37
Localisation : algérie
Emploi : médecin
- Message n°5
Re: parkinson
Cas clinique : Parkinson
Un homme de 65 ans, professeur de français retraité, présente un syndrome parkinsonien évoluant depuis 3 ans. Il est traité par Ldopa associée à un inhibiteur de la Dopa décarboxylase (MODOPAR 125 :1 gélule à 8h, 12h,16, et 20 heures) et par un agoniste dopaminergique (ropinirole 6mg/j) qui a été débuté depuis 2 mois et augmenté de manière progressive. Il est en bon état général.
Depuis 2 jours il présente des hallucinations visuelles qui inquiètent son entourage et qu’il a du mal à critiquer. Son examen clinique général est normal. L’examen neurologique montre un tremblement de repos du membre supérieur droit et une akinésie des 4 membres. Il n’y a pas de troubles de la conscience, pas de signes pyramidaux, ni cérebelleux.
1. Quelle est la première hypothèse à envisager pour expliquer les hallucinations ?
2. Que proposez vous ?
Quelques jours plus tard les hallucinations ont disparu, mais le médecin traitant est rappelé en raison d’une aggravation de l’état moteur du patient. Le tremblement s’est majoré et réapparait de manière plus intense environ 3 heures après la prise de MODOPAR..
3. Comment analyser vous cette reprise du tremblement ? Que pouvez vous proposer ?
L’état clinique s’améliore à nouveau. Quatre ans plus tard, le patient est adressé aux urgences en raison d’un état d’agitation fluctuant apparu depuis 24 heures. A l’examen clinique, le patient présente un tremblement de repos des membres supérieurs, une raideur généralisée. Sa marche se fait à petits pas, le tronc penché vers l’avant. Il est couvert de sueurs, désorienté dans le temps et répond de manière incohérente aux questions qui lui sont posées. L’examen clinque est très difficile à réaliser en raison du manque de coopération, mais il ne semble pas exister de déficit moteur et les réflexes cutané plantaires sont en flexion. La température est à 38°5. La tension artérielle est à 15/8. La palpation abdominale est douloureuse dans la région sus pubienne. L’auscultation pulmonaire et l’ausculation cardiaque sont normales.
4. Comment analyser vous le tableau clinique ?
5. Que proposez vous en urgence ?
L’évolution de l’état d’agitation est favorable, mais lors de l’hospitalisation le personnel soignant signale la persistance de quelques troubles du comportement, et à plusieurs reprises le patient a du mal à retrouver sa chambre. Après reprise du traitement antiparkinsonien habituel, l’état moteur est satisfaisant quel que soit le moment de la journée.
6. que proposez vous pour évaluer les fonctions cognitives de ce patient ?
Vous confirmez l’existence d’une atteinte cognitive qui était passée jusque là relativement inaperçue.
7. Des examens complémentaires sont ils nécessaires ? Lesquels ?
8. Quelle est l’hypothèse la plus vraisemblable concernant l’origine de ces troubles cognitifs ?
9. Un traitement peut il être proposé ?
Six mois plus tard, la situation est devenue très difficile à domicile. Le patient signale régulièrement des hallucinations visuelles. Elles sont plus importantes en fin de journée, peuvent s’accompagner d’une agitation et deviennent difficiles à gérer pour l’entourage. L’état moteur s’est également dégradé. Il existe peu de fluctuations de l’état moteur, mais les troubles de la posture et de l’équilibre sont à l’origine de chutes régulières. Le traitement anti parkinsonien consiste en 4 gelules de MODOPAR 250 par jour. Le patient est hospitalisé. L’examen neurologique est normal en dehors du syndrome parkinsonien.. Il n’y a pas de syndrome fébrile. Le bilan biologique d’admission est normal.
10. Quel examen complémentaire vous paraît il justifié ? Que recherchez vous ?
Cet examen est normal.
11. Que peut on proposer sur le plan thérapeutique ?
Un homme de 65 ans, professeur de français retraité, présente un syndrome parkinsonien évoluant depuis 3 ans. Il est traité par Ldopa associée à un inhibiteur de la Dopa décarboxylase (MODOPAR 125 :1 gélule à 8h, 12h,16, et 20 heures) et par un agoniste dopaminergique (ropinirole 6mg/j) qui a été débuté depuis 2 mois et augmenté de manière progressive. Il est en bon état général.
Depuis 2 jours il présente des hallucinations visuelles qui inquiètent son entourage et qu’il a du mal à critiquer. Son examen clinique général est normal. L’examen neurologique montre un tremblement de repos du membre supérieur droit et une akinésie des 4 membres. Il n’y a pas de troubles de la conscience, pas de signes pyramidaux, ni cérebelleux.
1. Quelle est la première hypothèse à envisager pour expliquer les hallucinations ?
2. Que proposez vous ?
Quelques jours plus tard les hallucinations ont disparu, mais le médecin traitant est rappelé en raison d’une aggravation de l’état moteur du patient. Le tremblement s’est majoré et réapparait de manière plus intense environ 3 heures après la prise de MODOPAR..
3. Comment analyser vous cette reprise du tremblement ? Que pouvez vous proposer ?
L’état clinique s’améliore à nouveau. Quatre ans plus tard, le patient est adressé aux urgences en raison d’un état d’agitation fluctuant apparu depuis 24 heures. A l’examen clinique, le patient présente un tremblement de repos des membres supérieurs, une raideur généralisée. Sa marche se fait à petits pas, le tronc penché vers l’avant. Il est couvert de sueurs, désorienté dans le temps et répond de manière incohérente aux questions qui lui sont posées. L’examen clinque est très difficile à réaliser en raison du manque de coopération, mais il ne semble pas exister de déficit moteur et les réflexes cutané plantaires sont en flexion. La température est à 38°5. La tension artérielle est à 15/8. La palpation abdominale est douloureuse dans la région sus pubienne. L’auscultation pulmonaire et l’ausculation cardiaque sont normales.
4. Comment analyser vous le tableau clinique ?
5. Que proposez vous en urgence ?
L’évolution de l’état d’agitation est favorable, mais lors de l’hospitalisation le personnel soignant signale la persistance de quelques troubles du comportement, et à plusieurs reprises le patient a du mal à retrouver sa chambre. Après reprise du traitement antiparkinsonien habituel, l’état moteur est satisfaisant quel que soit le moment de la journée.
6. que proposez vous pour évaluer les fonctions cognitives de ce patient ?
Vous confirmez l’existence d’une atteinte cognitive qui était passée jusque là relativement inaperçue.
7. Des examens complémentaires sont ils nécessaires ? Lesquels ?
8. Quelle est l’hypothèse la plus vraisemblable concernant l’origine de ces troubles cognitifs ?
9. Un traitement peut il être proposé ?
Six mois plus tard, la situation est devenue très difficile à domicile. Le patient signale régulièrement des hallucinations visuelles. Elles sont plus importantes en fin de journée, peuvent s’accompagner d’une agitation et deviennent difficiles à gérer pour l’entourage. L’état moteur s’est également dégradé. Il existe peu de fluctuations de l’état moteur, mais les troubles de la posture et de l’équilibre sont à l’origine de chutes régulières. Le traitement anti parkinsonien consiste en 4 gelules de MODOPAR 250 par jour. Le patient est hospitalisé. L’examen neurologique est normal en dehors du syndrome parkinsonien.. Il n’y a pas de syndrome fébrile. Le bilan biologique d’admission est normal.
10. Quel examen complémentaire vous paraît il justifié ? Que recherchez vous ?
Cet examen est normal.
11. Que peut on proposer sur le plan thérapeutique ?
alilia albert- Membre fidèle
- Messages : 31
Date d'inscription : 05/11/2010
Age : 37
Localisation : algérie
Emploi : médecin
- Message n°6
Re: parkinson
réfichissez un peu avant de vous donner les réponses
alilia albert- Membre fidèle
- Messages : 31
Date d'inscription : 05/11/2010
Age : 37
Localisation : algérie
Emploi : médecin
- Message n°7
Re: parkinson
qui a gagnez
Corrigé
1. Quelle est la première hypothèse à envisager pour expliquer les hallucinations ?
Complication des agonistes dopaminergiques (ou des anti parkinsoniens)
2. Que proposez vous ?
Arrêt des agonistes dopaminergiques
3. Comment analyser vous cette reprise du tremblement ? Que pouvez vous proposer ?
Il s’agit de phénomènes d’akinésie de fin de dose (ou fluctuations d’effets)
Rapprocher les prises de Ldopa ou associer un inhibiteur de la COMT
4. Comment analyser vous le tableau clinique ?
Syndrome confusionnel probablement secondaire à un globe vésical
5. Que proposez vous en urgence ?
Sondage urinaire évacuateur
Uroculture
Traitement antibiotique ?
Programmer un examen urologique et une échographie prostatique ?
6. que proposez vous pour évaluer les fonctions cognitives de ce patient ?
mini mental test de Folstein
réalisation d’une batterie frontale (BREF)
7. Des examens complémentaires sont ils nécessaires ? Lesquels ?
Scanner cérébral
8. Quelle est l’hypothèse la plus vraisemblable concernant l’origine de ces troubles cognitifs ?
Démence parkinsonienne (ou altération cognitive entrant dans le cadre de la maladie de Parkinson)
9. Un traitement peut il être proposé ?
Anticholinestérasique
10. Quel examen complémentaire vous paraît il justifié ? Que recherchez vous ?
Scanner cérébral : hématome sous dural
11. Que peut on proposer sur le plan thérapeutique ?
Clozapine (LEPONEX) à faibles doses
Avec surveillance hebdomadaire de la NF
Corrigé
1. Quelle est la première hypothèse à envisager pour expliquer les hallucinations ?
Complication des agonistes dopaminergiques (ou des anti parkinsoniens)
2. Que proposez vous ?
Arrêt des agonistes dopaminergiques
3. Comment analyser vous cette reprise du tremblement ? Que pouvez vous proposer ?
Il s’agit de phénomènes d’akinésie de fin de dose (ou fluctuations d’effets)
Rapprocher les prises de Ldopa ou associer un inhibiteur de la COMT
4. Comment analyser vous le tableau clinique ?
Syndrome confusionnel probablement secondaire à un globe vésical
5. Que proposez vous en urgence ?
Sondage urinaire évacuateur
Uroculture
Traitement antibiotique ?
Programmer un examen urologique et une échographie prostatique ?
6. que proposez vous pour évaluer les fonctions cognitives de ce patient ?
mini mental test de Folstein
réalisation d’une batterie frontale (BREF)
7. Des examens complémentaires sont ils nécessaires ? Lesquels ?
Scanner cérébral
8. Quelle est l’hypothèse la plus vraisemblable concernant l’origine de ces troubles cognitifs ?
Démence parkinsonienne (ou altération cognitive entrant dans le cadre de la maladie de Parkinson)
9. Un traitement peut il être proposé ?
Anticholinestérasique
10. Quel examen complémentaire vous paraît il justifié ? Que recherchez vous ?
Scanner cérébral : hématome sous dural
11. Que peut on proposer sur le plan thérapeutique ?
Clozapine (LEPONEX) à faibles doses
Avec surveillance hebdomadaire de la NF
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