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Et si la cause du SIDA n'est pas le VIH ?
rosirosa- Star-membre
- Messages : 5032
Date d'inscription : 08/06/2010
Localisation : algerie
- Message n°1
Et si la cause du SIDA n'est pas le VIH ?
rosirosa- Star-membre
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Date d'inscription : 08/06/2010
Localisation : algerie
- Message n°2
Re: Et si la cause du SIDA n'est pas le VIH ?
Voici un article que je trouve important à partager également [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Marseille : les tests du vaccin du sida en péril
Démarrés il y a un mois, les essais sur l'homme se heurtent au manque de moyens. Et aux rivalités scientifiques ?
La course au vaccin semblait enfin lancée. Après 15 ans de parcours
du combattant dans la jungle de la recherche française, Erwann Loret
avait enfin franchi la ligne de départ. Fin janvier dernier, l'Agence
nationale pour la recherche contre le sida (ANRS) accordait au
biologiste marseillais son agrément pour le démarrage de tests sur
l'homme.
Des années de travail acharné, des dizaines de
publications scientifiques et des essais concluants sur l'animal
aboutissaient, enfin, à cette phase décisive, porteuse d'espoir pour des
millions de malades dans le monde.
Dès l'annonce, en exclusivité dans La Provence,
du démarrage de ces tests, plus de 2 000 volontaires du monde entier
contactaient le chercheur marseillais. Et le 8 avril dernier, le premier
"cobaye" humain recevait la première injection...
Un mois plus
tard pourtant, cette belle aventure a du plomb dans l'aile. Pas pour des
raisons scientifiques ou médicales, puisqu'un premier bilan des tests
en cours a conclu à l'absence d'effets indésirables du vaccin. "Le
problème, c'est que mon laboratoire vient de perdre deux postes de
chercheurs sur quatre et qu'il devient difficile de poursuivre
l'expérimentation dans les conditions de suivi très strictes exigées par
l'ANRS", résume Erwann Loret.
Le risque, c'est que dans 18
mois, lorsque prendra fin l'expérimentation, ces résultats tant attendus
soient invalidés, faute d'avoir répondu à tous les critères... Plus
incompréhensible encore, compte tenu des enjeux : le Dr Loret a même été
nommé... à Montpellier par le CNRS, à un poste qu'il aurait dû
rejoindre le 1er avril dernier !
"Cette mutation n'est plus d'actualité",
indiquait hier la délégation Provence-Corse de l'organisme de
recherche, qui se refuse par ailleurs à s'engager sur les deux postes de
chercheur : "Les demandes de moyens sont étudiées à l'automne".
Une solution : se tourner vers des mécènes
Ces blocages n'étonnent pas le Pr Jean-Claude Chermann.
Le codécouvreur du VIH, qui fut le grand oublié du Nobel, était hier à Marseille pour apporter son soutien à Erwann Loret. "Je
ne connais pas personnellement ce chercheur, j'ignore si son vaccin va
marcher. Mais s'il a passé le cap, très exigeant, des autorisations pour
une expérimentation humaine, ce qui m'a toujours été refusé, qu'on le
laisse continuer jusqu'au bout", tonne le virologue.
Sollicités par La Provence, le ministère de la Recherche et celui de la Santé restent aux abonnés absents.
L'ANRS n'accordant pas un centime à l'équipe Loret, celui-ci a dû, une nouvelle fois, se tourner vers des mécènes.
L'Institut
international pour le développement et la recherche scientifique
innovante (IIDSRSI), basé dans le Var et dont le comité scientifique est
présidé par Jean-Claude Chermann, s'active pour trouver des fonds en
urgence. "Nous avons notamment un particulier monégasque et un Aixois qui sont prêts à débourser les 250 000€ qui manquent pour financer les deux postes", indique Michel Correa, directeur de l'IIDRSI.
Le
jeu en vaut la chandelle : il y a, actuellement, trois vaccins
thérapeutiques testés dans le monde. L'équipe américaine vient
d'échouer. Reste un principe actif testé à Barcelone. Et le vaccin
marseillais... S'il réussit à se frayer un passage dans la jungle de la
recherche française.
Il manque encore 24 volontaires
Français,
Américains, Brésiliens, Chinois : des milliers de personnes se sont
fait connaître depuis un mois, pour participer aux tests du vaccin
marseillais, qui se déroulent depuis début avril au centre
d'investigation clinique de la Conception à Marseille. Mais la sélection
est si sévère qu'il manque encore 24 volontaires sur les 48 prévus dans
le protocole.
Le Dr Isabelle Ravaux, qui coordonne les
opérations, a d'emblée privilégié les candidats habitants dans la
région, en raison de contraintes de suivi importantes. Les volontaires
doivent être séropositifs, âgés de 18 à 64 ans, placés sous trithérapie
avec une virémie indétectable depuis au moins un an.
Autre critère d'inclusion obligatoire : l'absence de co-infection au virus de l'hépatite C. "Or,
environ 30 % des séropositifs sont également porteurs de ce virus, et
encore davantage à Marseille et dans la région. De plus, les anticorps
du virus de l'hépatite sont encore détectables jusqu'à 10 ans après
l'infection. Cela a exclu d'office 50 % des candidats", explique le Dr Loret.
Le
vaccin étudié cible la protéine TAT du virus, celle qui empêche le
système immunitaire des malades du sida de "nettoyer" l'organisme des
cellules infectées. Etudié par plusieurs équipes dans le monde, ce
principe actif a déjà été testé avec succès sur la souris et sur le
lapin.
En 2001, l'équipe du Dr Loret a entrepris des essais sur le
macaque : sept singes, volontairement infectés par le SHIV (un virus
hybride entre le VIH et le SIH ou sida du singe), ont reçu une
injection. Résultat : après 56 jours, on ne décelait plus de cellules
infectieuses chez les sept macaques. Aucune toxicité n'a été observée.
En 2006, ce même vaccin a été testé avec succès à Harvard dans le cadre
d'une étude américaine sur le macaque.
La piste marseillaise est
donc prometteuse. D'autant que le Dr Loret innove aussi en matière de
fabrication. Contrairement à d'autres vaccins, décriés pour leur
toxicité, le sérum marseillais ne comporte pas d'adjuvant à base
d'aluminium.
"C'est clair : on veut nous mettre des bâtons dans les roues"
"C'est très clair : on veut nous mettre des bâtons dans les roues pour que ces essais échouent",
accuse Corinne Treger, l'actionnaire majoritaire et fondatrice de
Biosantech. Cette start-up qui a permis au vaccin du Dr Loret d'arriver
en phase de tests sur l'homme.
Sans les 200 000€ récoltés chez des particuliers de la région, "en faisant quasiment du porte-à-porte",
impossible de boucler le budget de l'expérimentation : 600 000€, dont
400 000€ alloués par Oséo (ex-Anvar), l'entreprise publique à
fonctionnement privé qui finance l'innovation.
De fait, depuis ses
premières publications en 2004 sur la protéine TAT OYI, ni les prix
internationaux, ni les encouragements du Pr Robert Gallo (codécouvreur
du VIH) ni ses collaborations, avec le Prix Nobel Luc Montagnier, n'ont
suffi à convaincre les organismes publics de financer les travaux de
Loret.
Il y a quelques années, le Marseillais a même failli jeter
l'éponge, avant d'être relancé par Biosantech et ses mécènes. Pourtant,
lors du dernier Sidaction, alors que les essais sur l'homme allaient
démarrer, pas un mot n'a été dit sur le vaccin marseillais, le seul
pourtant à être testé en France actuellement.
Dans l'univers impitoyable de la recherche française, "Erwann ne fait pas partie du club", analyse Corinne Treger. "Entre
les égocentrismes des uns, l'establishment impénétrable de la
communauté scientifique et le lobbying de l'industrie pharmaceutique,
qui voit d'un mauvais oeil l'arrivée d'un vaccin beaucoup moins rentable
que les trithérapies, les chercheurs indépendants ont bien du mal à
avancer", confirme le Pr Jean-Claude Chermann.
Même analyse pour Michel Correa, le directeur de l'IIDSRI, institut privé qui finance des recherches innovantes : "Il
existe à ce jour 23 molécules pour traiter le VIH qui appartiennent à
10 laboratoires qui se partagent un chiffre d'affaires annuel des
trithérapies et multithérapies de 26 milliards de dollars". Pour lui, "ces enjeux financiers expliquent mathématiquement pourquoi la recherche pour un vaccin est freinée".
En France, les blocages proviennent aussi des rivalités entre chercheurs : à Marseille, malgré l'intérêt de ses travaux, "le
Dr Loret n'a pas trouvé de labo souhaitant inclure son équipe dans ses
effectifs. C'est d'ailleurs pour cette raison que le CNRS l'a affecté à
Montpellier", explique le Pr Yvon Berland. Et le président d'Aix-Marseille Université reconnaît volontiers que "la recherche en France, c'est compliqué..."
Sophie Manelli
Le lien:
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Marseille : les tests du vaccin du sida en péril
Démarrés il y a un mois, les essais sur l'homme se heurtent au manque de moyens. Et aux rivalités scientifiques ?
La course au vaccin semblait enfin lancée. Après 15 ans de parcours
du combattant dans la jungle de la recherche française, Erwann Loret
avait enfin franchi la ligne de départ. Fin janvier dernier, l'Agence
nationale pour la recherche contre le sida (ANRS) accordait au
biologiste marseillais son agrément pour le démarrage de tests sur
l'homme.
Des années de travail acharné, des dizaines de
publications scientifiques et des essais concluants sur l'animal
aboutissaient, enfin, à cette phase décisive, porteuse d'espoir pour des
millions de malades dans le monde.
Dès l'annonce, en exclusivité dans La Provence,
du démarrage de ces tests, plus de 2 000 volontaires du monde entier
contactaient le chercheur marseillais. Et le 8 avril dernier, le premier
"cobaye" humain recevait la première injection...
Un mois plus
tard pourtant, cette belle aventure a du plomb dans l'aile. Pas pour des
raisons scientifiques ou médicales, puisqu'un premier bilan des tests
en cours a conclu à l'absence d'effets indésirables du vaccin. "Le
problème, c'est que mon laboratoire vient de perdre deux postes de
chercheurs sur quatre et qu'il devient difficile de poursuivre
l'expérimentation dans les conditions de suivi très strictes exigées par
l'ANRS", résume Erwann Loret.
Le risque, c'est que dans 18
mois, lorsque prendra fin l'expérimentation, ces résultats tant attendus
soient invalidés, faute d'avoir répondu à tous les critères... Plus
incompréhensible encore, compte tenu des enjeux : le Dr Loret a même été
nommé... à Montpellier par le CNRS, à un poste qu'il aurait dû
rejoindre le 1er avril dernier !
"Cette mutation n'est plus d'actualité",
indiquait hier la délégation Provence-Corse de l'organisme de
recherche, qui se refuse par ailleurs à s'engager sur les deux postes de
chercheur : "Les demandes de moyens sont étudiées à l'automne".
Une solution : se tourner vers des mécènes
Ces blocages n'étonnent pas le Pr Jean-Claude Chermann.
Le codécouvreur du VIH, qui fut le grand oublié du Nobel, était hier à Marseille pour apporter son soutien à Erwann Loret. "Je
ne connais pas personnellement ce chercheur, j'ignore si son vaccin va
marcher. Mais s'il a passé le cap, très exigeant, des autorisations pour
une expérimentation humaine, ce qui m'a toujours été refusé, qu'on le
laisse continuer jusqu'au bout", tonne le virologue.
Sollicités par La Provence, le ministère de la Recherche et celui de la Santé restent aux abonnés absents.
L'ANRS n'accordant pas un centime à l'équipe Loret, celui-ci a dû, une nouvelle fois, se tourner vers des mécènes.
L'Institut
international pour le développement et la recherche scientifique
innovante (IIDSRSI), basé dans le Var et dont le comité scientifique est
présidé par Jean-Claude Chermann, s'active pour trouver des fonds en
urgence. "Nous avons notamment un particulier monégasque et un Aixois qui sont prêts à débourser les 250 000€ qui manquent pour financer les deux postes", indique Michel Correa, directeur de l'IIDRSI.
Le
jeu en vaut la chandelle : il y a, actuellement, trois vaccins
thérapeutiques testés dans le monde. L'équipe américaine vient
d'échouer. Reste un principe actif testé à Barcelone. Et le vaccin
marseillais... S'il réussit à se frayer un passage dans la jungle de la
recherche française.
Il manque encore 24 volontaires
Français,
Américains, Brésiliens, Chinois : des milliers de personnes se sont
fait connaître depuis un mois, pour participer aux tests du vaccin
marseillais, qui se déroulent depuis début avril au centre
d'investigation clinique de la Conception à Marseille. Mais la sélection
est si sévère qu'il manque encore 24 volontaires sur les 48 prévus dans
le protocole.
Le Dr Isabelle Ravaux, qui coordonne les
opérations, a d'emblée privilégié les candidats habitants dans la
région, en raison de contraintes de suivi importantes. Les volontaires
doivent être séropositifs, âgés de 18 à 64 ans, placés sous trithérapie
avec une virémie indétectable depuis au moins un an.
Autre critère d'inclusion obligatoire : l'absence de co-infection au virus de l'hépatite C. "Or,
environ 30 % des séropositifs sont également porteurs de ce virus, et
encore davantage à Marseille et dans la région. De plus, les anticorps
du virus de l'hépatite sont encore détectables jusqu'à 10 ans après
l'infection. Cela a exclu d'office 50 % des candidats", explique le Dr Loret.
Le
vaccin étudié cible la protéine TAT du virus, celle qui empêche le
système immunitaire des malades du sida de "nettoyer" l'organisme des
cellules infectées. Etudié par plusieurs équipes dans le monde, ce
principe actif a déjà été testé avec succès sur la souris et sur le
lapin.
En 2001, l'équipe du Dr Loret a entrepris des essais sur le
macaque : sept singes, volontairement infectés par le SHIV (un virus
hybride entre le VIH et le SIH ou sida du singe), ont reçu une
injection. Résultat : après 56 jours, on ne décelait plus de cellules
infectieuses chez les sept macaques. Aucune toxicité n'a été observée.
En 2006, ce même vaccin a été testé avec succès à Harvard dans le cadre
d'une étude américaine sur le macaque.
La piste marseillaise est
donc prometteuse. D'autant que le Dr Loret innove aussi en matière de
fabrication. Contrairement à d'autres vaccins, décriés pour leur
toxicité, le sérum marseillais ne comporte pas d'adjuvant à base
d'aluminium.
"C'est clair : on veut nous mettre des bâtons dans les roues"
"C'est très clair : on veut nous mettre des bâtons dans les roues pour que ces essais échouent",
accuse Corinne Treger, l'actionnaire majoritaire et fondatrice de
Biosantech. Cette start-up qui a permis au vaccin du Dr Loret d'arriver
en phase de tests sur l'homme.
Sans les 200 000€ récoltés chez des particuliers de la région, "en faisant quasiment du porte-à-porte",
impossible de boucler le budget de l'expérimentation : 600 000€, dont
400 000€ alloués par Oséo (ex-Anvar), l'entreprise publique à
fonctionnement privé qui finance l'innovation.
De fait, depuis ses
premières publications en 2004 sur la protéine TAT OYI, ni les prix
internationaux, ni les encouragements du Pr Robert Gallo (codécouvreur
du VIH) ni ses collaborations, avec le Prix Nobel Luc Montagnier, n'ont
suffi à convaincre les organismes publics de financer les travaux de
Loret.
Il y a quelques années, le Marseillais a même failli jeter
l'éponge, avant d'être relancé par Biosantech et ses mécènes. Pourtant,
lors du dernier Sidaction, alors que les essais sur l'homme allaient
démarrer, pas un mot n'a été dit sur le vaccin marseillais, le seul
pourtant à être testé en France actuellement.
Dans l'univers impitoyable de la recherche française, "Erwann ne fait pas partie du club", analyse Corinne Treger. "Entre
les égocentrismes des uns, l'establishment impénétrable de la
communauté scientifique et le lobbying de l'industrie pharmaceutique,
qui voit d'un mauvais oeil l'arrivée d'un vaccin beaucoup moins rentable
que les trithérapies, les chercheurs indépendants ont bien du mal à
avancer", confirme le Pr Jean-Claude Chermann.
Même analyse pour Michel Correa, le directeur de l'IIDSRI, institut privé qui finance des recherches innovantes : "Il
existe à ce jour 23 molécules pour traiter le VIH qui appartiennent à
10 laboratoires qui se partagent un chiffre d'affaires annuel des
trithérapies et multithérapies de 26 milliards de dollars". Pour lui, "ces enjeux financiers expliquent mathématiquement pourquoi la recherche pour un vaccin est freinée".
En France, les blocages proviennent aussi des rivalités entre chercheurs : à Marseille, malgré l'intérêt de ses travaux, "le
Dr Loret n'a pas trouvé de labo souhaitant inclure son équipe dans ses
effectifs. C'est d'ailleurs pour cette raison que le CNRS l'a affecté à
Montpellier", explique le Pr Yvon Berland. Et le président d'Aix-Marseille Université reconnaît volontiers que "la recherche en France, c'est compliqué..."
Sophie Manelli
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rosirosa- Star-membre
- Messages : 5032
Date d'inscription : 08/06/2010
Localisation : algerie
- Message n°3
Re: Et si la cause du SIDA n'est pas le VIH ?
azerty3000- Super-membre
- Messages : 579
Date d'inscription : 11/04/2011
Localisation : setif
Emploi : medecin
- Message n°4
Re: Et si la cause du SIDA n'est pas le VIH ?
Backstage de l'innovation thérapeutique [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Intéressant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]c' pour ca notre medecine [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] loin de ces recherches et ses problemes , prq casser la tete, mdct arrivera a la fin all ready ( vrais intelligence [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image])
Intéressant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]c' pour ca notre medecine [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] loin de ces recherches et ses problemes , prq casser la tete, mdct arrivera a la fin all ready ( vrais intelligence [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image])
Invité- Invité
- Message n°5
Re: Et si la cause du SIDA n'est pas le VIH ?
Des mensonges que des mensonges comme d'habitude
ALLAHOUMA A3oud bika min 3lmin la yanfa3e
ALLAHOUMA A3oud bika min 3lmin la yanfa3e
rosirosa- Star-membre
- Messages : 5032
Date d'inscription : 08/06/2010
Localisation : algerie
- Message n°6
Re: Et si la cause du SIDA n'est pas le VIH ?
Merci pour vos interventions les amis [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image], c'est bien pour les personnes qui ont du temps (et c'est ce qui manque malheureusement [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]) de chercher les études qui ont été faites jusqu’à maintenant sur le VIH et surtout son mode de transmission (qui est largement controversé sur la vidéo, et c'est des propos très graves du coté sanitaire si ça va se propager au sein des populations ) et chercher les raisons et les études concrètes qui ont aboutis a incriminer le VIH comme seule cause du SIDA
Je souhaiterais l'intervention d'un infectiologue (s'il y en a un sur le forum et qui me lis [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]) qui pourra nous éclaircir sur beaucoup de points et nous dire quoi penser sur ce reportage [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Je souhaiterais l'intervention d'un infectiologue (s'il y en a un sur le forum et qui me lis [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]) qui pourra nous éclaircir sur beaucoup de points et nous dire quoi penser sur ce reportage [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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