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[size=18]CARDIOLOGIE[/size]
Référence francophone de votre spécialité continuellement mise à jour l'EMC constitue un outil essentiel pour la formation médicale continue. À la fois exhaustive et validée l'EMC répond aux demandes exigeantes de votre pratique quotidienne.
- Les grandes thématiques :
- les notions fondamentales d'anatomie de physiologie et de génétique ;
- les méthodes d'exploration cardiovasculaires ;
- les pathologies ischémiques valvulaires rythmiques myocardiques et leurs thérapeutiques spécifiques ;
- l'hypertension artérielle; la pathologie vasculaire ;
- la cardiologie pédiatrique.
- Les EMC Cardiologie :
- des autoévaluations pour vous tester ;
- plus de 2 270 illustrations des vidéos qui renforcent l'aide au diagnostic au fil des quelque 210 articles du traité.
Résumé |
L'insuffisance cardiaque est l'affection cardiovasculaire la plus fréquente puisqu'elle atteint 10 % environ des sujets de plus de 80 ans. Sa fréquence augmente d'une part du fait du vieillissement de la population, mais également du fait d'une meilleure prise en charge de certaines pathologies cardiovasculaires telles que l'infarctus du myocarde, l'hypertension artérielle, les valvulopathies, les troubles du rythme et de la conduction sans toutefois les guérir. C'est une pathologie sévère avec une mortalité entre 15 et 20 % à 1 an pour les patients hospitalisés et de 5 à 10 % pour les patients ambulatoires. Il s'agit enfin d'une pathologie qui coûte cher, essentiellement en rapport avec les hospitalisations itératives. Le diagnostic peut être difficile car beaucoup de symptômes ne sont pas spécifiques et il existe de nombreuses comorbidités associées. Une nouvelle entité est apparue dans la classification de l'insuffisance cardiaque avec les nouvelles recommandations de l'European Society of Cardiology, à côté des insuffisances cardiaques à fraction d'éjection préservée et altérée, celle de l'insuffisance cardiaque à fraction d'éjection intermédiaire. L'intérêt de ce nouveau découpage reste à définir. Les examens paracliniques sont d'une aide précieuse au diagnostic, à l'évaluation du pronostic et à la surveillance du patient, en particulier le dosage des peptides natriurétiques, l'échocardiographie et les tests métaboliques. Mais les techniques les plus modernes telles que l'IRM contribuent également à la prise en charge de l'insuffisant cardiaque, en particulier pour la recherche étiologique ; celle-ci est toujours dominée par l'insuffisance coronarienne.
[size=11]Le texte complet de cet article est disponible en PDF.[/size]Mots-clés : Insuffisance cardiaque, Épidémiologie, Diagnostic, Pronostic, Comorbidités
Résumé 1
La maladie coronaire est source d'insuffisance cardiaque avec une baisse de la fraction d'éjection du ventricule gauche. La revascularisation peut être un traitement efficace, mais il faut bien poser les indications chez ces patients à haut risque périopératoire. La détection de viabilité myocardique est alors impérative, et elle consiste à avoir des arguments qui prédisent l'amélioration ou la normalisation des troubles régionaux de la contractilité. Les techniques d'imagerie faisant appel à l'échographie de stress, à la médecine nucléaire ou à l'imagerie par résonance magnétique permettent de prédire l'existence de la viabilité. Des études non randomisées regroupées en méta-analyse ont montré que les patients avec viabilité et revascularisés ont une mortalité plus faible versus le traitement médical seul, une amélioration objective de la fonction globale et de la symptomatologie. En revanche, il n'y a aucun bénéfice en l'absence de viabilité myocardique. Des travaux plus sophistiqués sur le plan méthodologique vont globalement dans le même sens, sans que l'on puisse être formel sur leur valeur statistique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.
Mots-clés : Viabilité, Hibernation, Hypokinésie, Échographie, FDG, Scintigraphie, IRM, Revascularisation
Résumé 2
Les embolies artérielles des membres sont principalement dues à la migration de caillots venant du myocarde, formés et éjectés à la faveur d'un trouble du rythme. La traduction typique de ce tableau correspond à une ischémie aiguë de membre dont la gravité dépend de la localisation de l'embole, de l'état général du patient et de son état vasculaire. Néanmoins, il existe de nombreuses autres étiologies à un tableau ischémique et les causes emboliques sont multiples (cardiopathies, valvulopathies, endocardites, anévrisme emboligène, aortite emboligène, emboles néoplasiques, origine veineuse, causes iatrogènes, etc.). Aussi, un bilan étiologique complet est indispensable devant tout tableau d'embolie artérielle de membre. La difficulté diagnostique est d'autant plus importante qu'un tableau d'ischémie brutale n'est pas systématique et l'on peut être face à un tableau chronique, voire paucisymptomatique. Une fois le diagnostic clinique établi, le chirurgien vasculaire doit être au centre de la prise en charge afin de déterminer la stratégie thérapeutique et la nécessité d'examens complémentaires. Le traitement est discuté entre une thromboembolectomie à la sonde de Fogarty, une thrombolyse in situ ou une thrombectomie mécanique percutanée. La place de l'artériographie reste majeure dans le processus de contrôle de ces trois procédures. Il s'agit d'une pathologie potentiellement grave, mettant en jeu le pronostic fonctionnel du membre et sa viabilité, mais pouvant également mettre en jeu le pronostic vital du patient devant les complications de la rhabdomyolyse et du syndrome de reperfusion chez un patient fragile. Il existe également une pathologie microembolique, dite des « emboles de cholestérol », qui peut survenir chez des patients présentant une athérosclérose évoluée, à l'occasion d'un facteur déclenchant. Il s'agit alors d'une prise en charge essentiellement médicale.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.
Mots-clés : Embolie artérielle, Ischémie aiguë de membre, Thrombectomie, Thrombolyse, Emboles de cholestérol
Résumé 3
Les catécholamines sont des neurotransmetteurs ayant une action systémique par activation des récepteurs adrénergiques du système orthosympathique. Ces molécules agissent aussi bien sur le système cardiovasculaire, neurologique, pulmonaire, gastrique, urologique qu'endocrinien. Il existe trois catécholamines endogènes (adrénaline, noradrénaline et dopamine) et de nombreuses autres catécholamines de synthèse utilisées en thérapeutique humaine essentiellement pour leur action sur le système cardiovasculaire. Les principales indications des catécholamines sont l'état de choc, l'arrêt cardiaque ou l'hypotension artérielle peranesthésique. Comme chaque catécholamine possède des affinités plus ou moins importantes sur les récepteurs α-adrénergiques vasculaires ou β-adrénergiques cardiaques, leur utilisation dépend de l'importance de la dysfonction d'organe selon qu'elle touche davantage les vaisseaux (vasoplégie) ou le cœur. La posologie varie selon les indications, mais la titration de la dose adéquate selon un objectif de pression artérielle moyenne semble être la méthode la plus utilisée par les cliniciens au quotidien. Toutefois, ces médicaments sont à prescrire par des spécialistes rompus à leur maniement car ils peuvent engendrer des effets secondaires potentiellement létaux.
[size=12]Le texte complet de cet article est disponible en PDF.[/size]Mots-clés : Système sympathique, Catécholamines, Inotropes, Réanimation, Choc, Adrénaline, Noradrénaline, Dopamine
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