C'est le nouveau défi que la médecine essaie de relever. Grâce aux progrès thérapeutiques et du dépistage, la grande majorité des cancers du sein peut désormais guerir. Parmi les 52 000 nouveaux cas enregistrés, annuellement en France, 84% sont désormais en vie 5 ans après le diagnostic. Cette amélioration spectaculaire du pronostic de ces tumeurs a mis en relief le risque de séquelles et d'effets secondaires tardifs des traitements. C'est pourquoi, les spécialistes du cancer du sein ont désormais un nouvel objectif : leur offrir la meilleure qualité de vie possible, car en suivi de routine, les médecins sont de plus en plus souvent confrontés à de multiples symptômes ou pathologies favorisés par les chimiothérapies ou la radiothérapie : prise de poids, troubles cognitifs, problèmes cardio-vasculaires .......
A noter que les gestes chirurgicaux et les traitements médicaux sont de plus en plus ciblés, en fonction des caractéristiques de la tumeur, ce qui a pour conséquence la limitation des effets secondaires qu'on pouvait rencontrer quand on délivrait des chimiothérapies à tout va. D'autres molécules bloquant spécifiquement la croissance tumorale ou la formation des vaisseaux qui l'alimentent sont commercialisés ou en cours d'essais. Quant aux chercheurs, ils s'intéressent aussi beaucoup à l'environnement qui aiderait la tumeur à se développer, de manière à encore mieux cibler les traitements et éviter les récidives. Ces progrès, tous azimuts, sur la prise en charge, ne doivent pas faire oublier qu'1/3 des cas de cancers du sein pourraient être évités si les femmes mangeaient moins et faisaient beaucoup d'exercice physique, comme l'ont rappelé des chercheurs lors du congrès de Barcelone.
Parallèlement à çà, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé a demandé le retrait et la suspension de l'utilisation des implants mammaires en gel de silicone de la socité Poly Implant Prothèse (PIP) et suggère aux femmes, bénéficiant de ces prothèses, de consulter leur chirurgien, pour un controle. Des ruptures de l'enveloppe de ces implants seraient en effet survenus à une fréquence plus élevée que pour les autres implants mammaires contenant des gels de silicone.
Ces prothèses peuvent être utilisées pour reconstruction après ablation du sein pour cancer. Le risque pour les patientes n'est pas dramatique : le préjudice est essentiellement esthétique en cas de rupture, ce qui nécessite, obligatoirement, une nouvelle opération. On peut aisément imaginer qu'après les épreuves lourdes et longues, traversées durant la lutte contre le cancer du sein, ces femmes ayant choisi la reconstruction mammaire n'aient pas une folle envie de retourner sur la table.
A noter que les gestes chirurgicaux et les traitements médicaux sont de plus en plus ciblés, en fonction des caractéristiques de la tumeur, ce qui a pour conséquence la limitation des effets secondaires qu'on pouvait rencontrer quand on délivrait des chimiothérapies à tout va. D'autres molécules bloquant spécifiquement la croissance tumorale ou la formation des vaisseaux qui l'alimentent sont commercialisés ou en cours d'essais. Quant aux chercheurs, ils s'intéressent aussi beaucoup à l'environnement qui aiderait la tumeur à se développer, de manière à encore mieux cibler les traitements et éviter les récidives. Ces progrès, tous azimuts, sur la prise en charge, ne doivent pas faire oublier qu'1/3 des cas de cancers du sein pourraient être évités si les femmes mangeaient moins et faisaient beaucoup d'exercice physique, comme l'ont rappelé des chercheurs lors du congrès de Barcelone.
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Ces prothèses peuvent être utilisées pour reconstruction après ablation du sein pour cancer. Le risque pour les patientes n'est pas dramatique : le préjudice est essentiellement esthétique en cas de rupture, ce qui nécessite, obligatoirement, une nouvelle opération. On peut aisément imaginer qu'après les épreuves lourdes et longues, traversées durant la lutte contre le cancer du sein, ces femmes ayant choisi la reconstruction mammaire n'aient pas une folle envie de retourner sur la table.
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