Des efforts considérables sont entrepris par le personnel médical et paramédical de l’établissement neuropsychiatrique Hamdani Adda. Ils sont, en effet, plus de 300 personnes, dont 15 médecins, à se relayer pour apporter « soins, assistance et prise en charge aux pensionnaires de l’établissement qui a ouvert ses portes en 1986 ».
Cet établissement, à vocation régionale, couvre officiellement six wilayas ; mais, en réalité, « des malades de 12 wilayas viennent vers nous », annonce M. Lafrès Ghali, directeur. Actuellement, « l’hôpital dispose de 240 lits répartis sur trois pavillons, dont un pour la pédopsychiatrie », font savoir les deux jeunes spécialistes, invitées du forum de la presse. Nos interlocutrices ont tenu à démystifier ces pathologies liées à la maladie mentale. Mmes Djelaili et Aich ont abordé le volet lié à la prise en charge des malades et, subséquemment, à leur prise en charge à travers l’ergothérapie et la réinsertion sociale, entre autres. Il y a, disent nos psychologues, « celles et ceux qui choisissent d’être SDF (sans domicile fixe) ou mendiants ». Ces gens-là, on doit les accompagner en extra-muros car l’établissement est une structure de soins ouverte.
Pour ce faire, les malades se retrouvent, l’espace de la stabilisation de leur état, dans un véritable village. Un village qui dispose d’une batterie de services dont un plateau technique d’espaces de détente et de loisirs comme le bain, la salle de cinéma, la mosquée et autres. Le premier responsable du secteur, à l’issue du dernier conseil d’administration, a préconisé « l’implant d’un service de neurochirurgie et un autre pour la rééducation fonctionnelle ». La seule contrainte est liée au manque de spécialistes. S’agissant de ces malades qui traînent dans les rues, les spécialistes préconisent une autre approche.
Les familles doivent comprendre, disent-elles unanimes, que « la maladie mentale est semblable à toute autre pathologie ». Le malade peut guérir si la prise en charge est immédiate et suivie en milieu adéquat et toute décision reste du ressort du médecin. Les invitées de la presse, qui font état d’un volume de travail contraignant, signalent que, trop souvent, un médecin prend en charge 50 à 60 malades en consultation. Un rythme de travail qui plaide pour une grande décentralisation de structures d’appoints dans d’autres localités.
Par A. F
Cet établissement, à vocation régionale, couvre officiellement six wilayas ; mais, en réalité, « des malades de 12 wilayas viennent vers nous », annonce M. Lafrès Ghali, directeur. Actuellement, « l’hôpital dispose de 240 lits répartis sur trois pavillons, dont un pour la pédopsychiatrie », font savoir les deux jeunes spécialistes, invitées du forum de la presse. Nos interlocutrices ont tenu à démystifier ces pathologies liées à la maladie mentale. Mmes Djelaili et Aich ont abordé le volet lié à la prise en charge des malades et, subséquemment, à leur prise en charge à travers l’ergothérapie et la réinsertion sociale, entre autres. Il y a, disent nos psychologues, « celles et ceux qui choisissent d’être SDF (sans domicile fixe) ou mendiants ». Ces gens-là, on doit les accompagner en extra-muros car l’établissement est une structure de soins ouverte.
Pour ce faire, les malades se retrouvent, l’espace de la stabilisation de leur état, dans un véritable village. Un village qui dispose d’une batterie de services dont un plateau technique d’espaces de détente et de loisirs comme le bain, la salle de cinéma, la mosquée et autres. Le premier responsable du secteur, à l’issue du dernier conseil d’administration, a préconisé « l’implant d’un service de neurochirurgie et un autre pour la rééducation fonctionnelle ». La seule contrainte est liée au manque de spécialistes. S’agissant de ces malades qui traînent dans les rues, les spécialistes préconisent une autre approche.
Les familles doivent comprendre, disent-elles unanimes, que « la maladie mentale est semblable à toute autre pathologie ». Le malade peut guérir si la prise en charge est immédiate et suivie en milieu adéquat et toute décision reste du ressort du médecin. Les invitées de la presse, qui font état d’un volume de travail contraignant, signalent que, trop souvent, un médecin prend en charge 50 à 60 malades en consultation. Un rythme de travail qui plaide pour une grande décentralisation de structures d’appoints dans d’autres localités.
Par A. F
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