mise au point d'un vaccin contre le cancer du poumon

Vaccin thérapeutique contre le cancer du poumon : les essaies thérapeutiques ont commencé
Jeudi 18 novembre 2010, il n’a fallut que quelques heures après la diffusion de ce sujet au Magazine de la santé de France 5 et au JT de 20h sur France 2 pour que le standard et les secrétariats de l'Institut Gustave Roussy soient saturés. En effet, nombreux sont les patients désirants de participer au essaies thérapeutiques de ce nouveau vaccin.
Un vaccin thérapeutique prometteur contre le cancer du poumon.Le service d’oncologie de l’Institut Gustave Roussy à Villejuif expérimente actuellement un vaccin thérapeutique contre le cancer du poumon. Ce dernier, « avancé mais non opérable » vise à stimuler les défenses immunitaires des patients.L’équipe de chercheurs vient ainsi de lancer cet essai auprès de 41 patients. Baptisé « Dex2 », il repose sur le principe de l’immunothérapie anti-tumorale. Cette stratégie vise en quelque sorte à « rééduquer » le système immunitaire pour l’aider à combattre une tumeur.
Un vaccin "sur mesure" pour chaque patient
IL s’agit d’un vaccin thérapeutique et non préventif, c’est à dire qu’il est réservé aux personnes déjà malades.Le but est de pousser les cellules de défense du patient à aller attaquer ses tumeurs. Pour cela on utilise des nanogoutelettes, appelées exosomes.« Le vaccin est préparé pour chaque patient, à partir de ses propres cellules », explique Benjamin Besse, cancérologue, responsable du comité de pathologie thoracique à l’IGR.Il s’agit de prélever des cellules spéciales dans le sang du malade, de traiter ces cellules en laboratoire, puis de les réinjecter au même malade en espérant que ces cellules traitées stimulent son système immunitaire et l'aide à lutter contre la tumeur.
Des essaies préliminaires encourageantes« Les résultats des premiers essaies ont été très encourageants en terme de faisabilité, d’absence de toxicité, de stabilisation de la maladie chez certains patients et la régression de la tumeur chez d’autre, si cette nouvelle expérimentation se passe bien, le vaccin pourrait être disponible d’ici cinq ans. » explique L’équipe du professeur... sources

Il est demandé aux patients d'être du type HLA A2, d'être en bonne forme, d'être atteint d'un cancer du poumon avancé , non à petites cellules, non opérable.
Ne pas avoir commencé la chimiothérapie, ou être dans les 4 premiers cycles avec une stabilisation ou une régression tumorale

Où en sont les recherches chez nous ?

Concernant le cancer avancé non opérable, je pense qu'il s'agit des recherche sur la mutation de la cellules cancéreuse et des molécules ciblées.