La puissance des équipements de biologie actuels a permis la mise au point de nouveaux outils de diagnostic et de suivi médical. Grâce aux biomarqueurs, il sera possible d'élaborer plus vite des traitements et de les administrer de façon plus pertinente
Bientôt, à partir d'une simple prise de sang, il sera possible de détecter un début de cancer (du sein, par exemple) bien que la patiente ne présente encore aucun signe clinique. Son traitement de chimiothérapie sera, lui aussi, choisi à partir d'informations obtenues dans l'échantillon sanguin, et son efficacité contrôlée notamment grâce à des prises de sang réalisées à intervalles réguliers. Pour mettre au point ce traitement, le laboratoire pharmaceutique se sera d'ailleurs appuyé sur ces mêmes données afin de déterminer, parmi les patientes souffrant de cancers du sein, celles susceptibles d'être les plus réceptives au traitement.
A quoi servent les biomarqueurs ?
1- Diagnostiquer plus tôt les maladies : La présence de certains biomarqueurs peut être utilisée pour prédire la survenue de maladies comme les cancers, la maladie d'Alzheimer ou la maladie de Parkinson avant l'apparition des premiers symptômes.
2- Découvrir de nouvelles molécules thérapeutiques : L'observation de l'évolution de certains biomarqueurs peut guider les laboratoires dans la validation au niveau moléculaire de cibles pour de nouveaux traitements. Ils peuvent aussi aider à prédire la toxicité d'une molécule.
3- Accélérer les essais cliniques : Les biomarqueurs permettent de constituer des groupes tests et des groupes de contrôle mieux définis qui permettront à l'essai clinique de conclure vraiment quant à l'efficacité du traitement. En outre, grâce aux biomarqueurs dits « de substitution », dont l'évolution anticipe la réponse clinique, il n'est plus nécessaire d'attendre cette réponse chez les patients pour savoir si la molécule en cours de test a un effet ou non.
4- Prédire la réponse des patients aux traitements : Les biomarqueurs peuvent aider les médecins à mieux prévoir la réaction de leurs patients à un traitement, et de ce fait à ne le prescrire qu'à ceux dont les biomarqueurs indiquent qu'ils y seront réceptifs.
Bientôt, à partir d'une simple prise de sang, il sera possible de détecter un début de cancer (du sein, par exemple) bien que la patiente ne présente encore aucun signe clinique. Son traitement de chimiothérapie sera, lui aussi, choisi à partir d'informations obtenues dans l'échantillon sanguin, et son efficacité contrôlée notamment grâce à des prises de sang réalisées à intervalles réguliers. Pour mettre au point ce traitement, le laboratoire pharmaceutique se sera d'ailleurs appuyé sur ces mêmes données afin de déterminer, parmi les patientes souffrant de cancers du sein, celles susceptibles d'être les plus réceptives au traitement.
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1- Diagnostiquer plus tôt les maladies : La présence de certains biomarqueurs peut être utilisée pour prédire la survenue de maladies comme les cancers, la maladie d'Alzheimer ou la maladie de Parkinson avant l'apparition des premiers symptômes.
2- Découvrir de nouvelles molécules thérapeutiques : L'observation de l'évolution de certains biomarqueurs peut guider les laboratoires dans la validation au niveau moléculaire de cibles pour de nouveaux traitements. Ils peuvent aussi aider à prédire la toxicité d'une molécule.
3- Accélérer les essais cliniques : Les biomarqueurs permettent de constituer des groupes tests et des groupes de contrôle mieux définis qui permettront à l'essai clinique de conclure vraiment quant à l'efficacité du traitement. En outre, grâce aux biomarqueurs dits « de substitution », dont l'évolution anticipe la réponse clinique, il n'est plus nécessaire d'attendre cette réponse chez les patients pour savoir si la molécule en cours de test a un effet ou non.
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