Vos narines vous chatouillent, vous gratouillent et paf !! L'explosion. A vos souhaits !!
L'éternuement a une fonction bien définie dans le corps humain. Laquelle ?
Une sensation désagréable de picotement vous prend subitement dans les narines. Seul moyen de s'en débarasser : éternuer ! Un vent violent d'environ 200 km/h est projeté de votre nez. Impossible de vous controler. Ce mécanisme est un système de défense mis au point par notre organisme. La nature est bien faite ! Les voies aériennes comme la bouche et les narines sont des lieux de passage de l'air vers les poumons. Celui-ci est souvent chargé de diverses particules non désirées et pouvant empêcher le bon fonctionnement de la respiration.
L'intérieur de nos narines est couvert d'une muqueuse constituée de petites cellules ciliées. Elles sécrètent une substance collante appelée mucus. Lorsque des particules pénètrent dans les voies respiratoires, elles les captent directement en les engluant. Ces petites boules de mucus sont ensuite dirigées par le mouvement des cils vers l'oesophage et donc l'estomac pour être éliminées. Oui, mais parfois ce mécanisme n'est pas suffisant. Les particules sont trop grosses pour être piégées et digérées. Seul moyen : les projeter hors de l'organisme via un vent violent : l'éternuement.
Dans le processus d'éternuement, le cellules ciliées de la muqueuse nasale ne rentrent pas en ligne de compte. Cet épithélium dispose de terminaisons nerveuses du nerf crânien V ou le nerf trijumeau. Les poussières et autres agents irritants vont stimuler ces terminaisons qui s'empressent d'envoyer des signaux nerveux. Le nerf trijumeau les transmet en hautl ieu, le cerveau et plus précisément au noyau trijumeau. Celui-ci commande les muscles responsables de la respiration tels que le diaphragme, l'épiglotte, les muscles intercostaux, les muscles paupières et du pharinx.
Le noyau trijumeau va provoquer une inspiration conséquente d'environ 2,5 litres de volume d'air, les cordes vocales et l'épiglotte vont alors se refermer ; les muscles intercostaux se contractent et génèrent une forte pression pulmonaire. L'air contenant des particules est expulsé ; les cordes vocales et l'épiglotte s'ouvrent, le voile du palais s'abaisse, libérant ainsi le passage vers les voies respiratoires et plus particulièrement vers le fosses nasales.
Les agents irritants sont ensuite renvoyés hors du corps dans un atchoum fracassant !!!
L'éternuement a une fonction bien définie dans le corps humain. Laquelle ?
Une sensation désagréable de picotement vous prend subitement dans les narines. Seul moyen de s'en débarasser : éternuer ! Un vent violent d'environ 200 km/h est projeté de votre nez. Impossible de vous controler. Ce mécanisme est un système de défense mis au point par notre organisme. La nature est bien faite ! Les voies aériennes comme la bouche et les narines sont des lieux de passage de l'air vers les poumons. Celui-ci est souvent chargé de diverses particules non désirées et pouvant empêcher le bon fonctionnement de la respiration.
L'intérieur de nos narines est couvert d'une muqueuse constituée de petites cellules ciliées. Elles sécrètent une substance collante appelée mucus. Lorsque des particules pénètrent dans les voies respiratoires, elles les captent directement en les engluant. Ces petites boules de mucus sont ensuite dirigées par le mouvement des cils vers l'oesophage et donc l'estomac pour être éliminées. Oui, mais parfois ce mécanisme n'est pas suffisant. Les particules sont trop grosses pour être piégées et digérées. Seul moyen : les projeter hors de l'organisme via un vent violent : l'éternuement.
Dans le processus d'éternuement, le cellules ciliées de la muqueuse nasale ne rentrent pas en ligne de compte. Cet épithélium dispose de terminaisons nerveuses du nerf crânien V ou le nerf trijumeau. Les poussières et autres agents irritants vont stimuler ces terminaisons qui s'empressent d'envoyer des signaux nerveux. Le nerf trijumeau les transmet en hautl ieu, le cerveau et plus précisément au noyau trijumeau. Celui-ci commande les muscles responsables de la respiration tels que le diaphragme, l'épiglotte, les muscles intercostaux, les muscles paupières et du pharinx.
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